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- Cocteau-
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Le bouquiniste à la Petite Vertu.... |
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COCTEAU, Jean (1889-1963). Ah! le bel homme, ah! le bel esthète... Dessin de Stem.
Il faudrait des années pour bien parlé de Cocteau.... désolé pour les aficionado ! d'ailleurs pour les personnages très célèbres, cherchez aussi sur d'autres sites internet plus compétents!
Ecrits, roman : Thomas l’imposteur. Paris : NRF coll. Blanche, 1923, 188p, 118x185. Poésie (1916-1923). Deux volumes. Paris : NRF coll. Blanche, 1925, 472p, 118x185. Antigone suivi de Les Mariés de la Tour Eiffel. Paris : NRF coll. Blanche, 176p, 140x205. Le Livre blanc. Paris : M. Sachs et J. Bonjean, 1928. Le Livre blanc. Précédé d'un frontispice et accompagné de 17 dessins de Jean Cocteau. Paris, Éditions du Signe, 1930.
Réédition par Paris : Bernard Laville, dans la collection Erotika Biblion, 1970, 121p.►►►
◄◄◄Réédition par Paris : Personna, 1981, 173p.
◄◄◄Editions de Messine, préface Patrick Mondiano, collection Pierre Bergé. 1983, 123 pages.
Les Enfants terribles. Paris : Grasset, 1929. Renaud et Armide. Paris : NRF coll. Blanche, 1932, nouvelle édition en 1943, 128p, 118x185. Portraits souvenirs. « Certes, le passé n'est que l'avenir devenu vieux et le présent du passé encore jeune ». Des souvenirs de jeunesse très 1900, son premier bal travesti avec son mentor De Max ou son silence timide devant l'Impératrice défendant les perruques de couleur. La Montijo chez les punks! Grasset, 1984 (Les Cahiers rouges), ou 1935. Mon Premier voyage. Paris : NRF coll. Blanche, 1936, 234p, 118x185. Les Chevaliers de la Table ronde. Paris : NRF coll. Blanche, 1937, 224p, 118x185. Les Parents teribles. Paris : NRF coll. Blanche, 1938, 256p, 118x185. La Fin du Potomak. Paris : NRF coll. Blanche, 1940, 200p, 118x185. Les Monstres sacrés. Illustré par Christian Bérard. Paris : NRF coll. Blanche, 1940, 216p, 3 ill, 118x185. La Machine à écrire. Paris : NRF coll. Blanche, 1941, 214p, 118x185. L’Aigle à deux tête. Paris : NRF coll. Blanche, 1946, 200p, 118x185. Maalesh. Paris : NRF coll. Blanche, 1949, 240p, 118x185. Le Discours d’Oxford. Paris : NRF coll. Blanche, 1956, 60p, 118x185. . . Cérémonial espagnol du Phénix, suivi de La Partie d’échecs. Paris : NRF coll. Blanche, 1961, 36p, 185x235. L’Impromptu du Palais Royal. Paris : NRF coll. Blanche, 1962, 80p, 118x185. Faire part.
◄◄◄j'ai eu entre les mains cette précieuse dédicace de Cocteau à Ablel Hermant. "A Abel Hermant souvenir d'une conversation en sortant de chez Courpières son admirateur, jean Cocteau, Juin 1921. " (17 8 2004)
Ecrits, théâtre : Théâtre Tome I et Tome II. Paris : NRF coll. Blanche, 1948, tI 308p, tII 424p, 118x185.Théâtre inédit et textes épars. Paris : NRF coll. Cahiers de Jean Cocteau, N° , 1985, 344p, 140x205. Bacchus. Paris : NRF coll. Blanche, 1952, 224p, 140x205.
Ecrits, poèmes : Plain-chant. Librairie stock, 1923, 48p. Voir la couverture avec une dédicace, en vente sur notre site. "A Pierre Plessis souvenir bien amical de Jean Cocteau" Poèmes. Paris : NRF coll. Blanche, 1948, 160p, 118x185.Poèmes. Paris : NRF coll. Blanche, 1956, 240p, 140x205. Poésie critique. Tome I, Paris : NRF coll. Blanche, 1959, 352p, 140x205. Tome II, Paris : NRF coll. Blanche, 1960, 264p, 140x205. Clair-Obscur. Monaco : Edition du Rocher, 1954, 200p, la dédicace ci-contre est tirée de mon exemplaire en vente le 2 8 2004. Léone / texte présenté par Jean-Louis Major. Ottawa, Edition de l'Université d'Ottawa, 1975, 144p. Le Requiem. Paris : NRF coll. Blanche, 1962, 180p, 185x235, réédition de 1983.
Opéra : Paul et Virginie / en collaboration avec Raymond Radiguet. Journaux : Journal : 1942-1945 / par Jean Touzot. « Pitre morbide aujourd'hui fripé par les grimaces de cette intelligence perpétuellement invertie, cette vieille girouette du troisième sexe qui virevolte dans ses caprices femelles à la façon d'une coquette frénétique ». Voici Cocteau vu par la collaboration. Le journal de ses années de guerre à Paris, même s'il reste discret sur son ménage à trois (Cocteau, Jean Marais, Paul Morihien), donne une bonne idée de la création artistique et cinématographique dans ces années-là. De merveilleuses pages sur sa découverte de Jean Genet. Référence de lecture : NRF, 1989. ◄◄◄Photo extraite de la revue publicitaire Mieux Vivre : Ecrire, N° 12, Décembre 1938. (17 8 2004) Le Passé défini ; journal / Edition de Pierre Chanel : Tome I 1951-1952. Paris : NRF coll. Blanche, 1983, 468p, 140x205. Tome II 1953, Paris : NRF coll. Blanche, 1985, 432p, 140x205. Journal d'un inconnu. Les métamorphoses du poète. Opium.
Correspondance : Lettres de l'Oiseleur. Monaco, Editions du Rocher, 1989, 230p. Lettres à sa mère / Tome I / 1898-1918. Paris, NRF, 1989, 529p. Correspondance Jean Cocteau -Lucien Clergue. Actes Sud, 1989, 95p.
Divers, Presse. Hommage à Jean Cocteau pour sa mort. Hélas, Jean eut le malheur de mourir le même jour qu'Edith Piaf qui occupe ici presque tout le journal, avec des pubs pour la toute nouvelle 2ème chaîne!!! Paris Match, 19 oct. 1963. La Chapelle St Pierre Villefranche sur mer. La salle des mariages de l'Hôtel de ville de Menton. Monaco, Editions du Rocher, 1958. Les Grands Ecrivains / Cocteau. N°11. ◄◄ Dernière de couverture, Cocteau par Marie Laurencin, 1921.
Divers, catalogue d'expo : Les Métamorphoses du poète : catalogue de l'Exposition au Louvre des Antiquaires, du 29 avril au 4 oct. 1998
Etudes :
Jean Cocteau par Jean Cocteau. Jean Cocteau, la chute des anges / Danielle Chaperon. Prince sans royaume / par Monique Lange. Très bien construit, en partant des écrits de J. Cocteau, avec ses suffisances qui sont remises à leur place à chaque fin de chapitre. On peut se demander avec elle si le suicide de son père n’était pas dû à sa propre homosexualité (p.32) ; et vivre sa première fugue à Marseille, à 17 ans, où il découvre les marins et l’opium (p.48) ou l’obscénité de la Voix humaine, qu’on dit adressé à Jean Desbordes (p.240). Et cette définition de l’art : ""Etonne-moi" que lui avait lancé Diaghilev un soir place de la Concorde. L’idée d’étonner ne m’était pas encore venue. J’étais d’une famille où on ne pensait pas du tout à étonner. On croyait que l’art était une chose tranquille, calme disparate -on n’avait pas à choisir-... Le Sacre du Printemps était pour moi la révélation d’une forme d’art opposée aux habitudes et anticonformiste. C’est quand j’ai connu Stravinsky que j’ai compris que la révolte était indispensable à l’art... et que l’esprit de création était la plus haute forme de l’esprit de contradiction" (p.136).Livre de poche, 1990. L'Etoile Jean Cocteau /JP Millecam. Jean Cocteau ou la vérité du mensonge, Claude Mauriac. Les Belles de Cocteau / Dominique Marny. JC Lattès, 1995,271p Jean Cocteau, entre Picasso et Radiguet / Présentation André Fermigier. Paris, Miroir de l'Art, Hermann,1967, 194p
Autour de Jean Cocteau : Chronique d'une amitié, lettres dessins inédits de JC / Georges Coanet.
Une pub de JC pour les voiture Irat ►►
voir aussi : MARAIS, Jean. Jean Marais / par Jean Cocteau. Lettres à Jean Marais.
Petite histoire sortie des mémoires d' Henri Jeanson (mais si vous connaissez, c'est lui qui a écrit le célèbre Atmosphère, Atmosphère d'Arletty) dans 70 ans d'adolescence, chez Stock en 1971: " Les vieux amis, entre eux, ne se conduisent jamais autrement. Que je fasse un film ou une pièce, qui m'esquinte toujours ? mes meilleurs amis. Ils m'aiment tellement qu'ils ne me passent rien. Prenons Cocteau et Mauriac...ou Cocteau et Bérard... J'ai souvent dîné avec Bérard -l'un des plus chers amis du cher Cocteau. Ils s'adoraient. Attachés l'un à l'autre comme le forçat à son boulet. Eh bien ! Bérard avait appris par coeur tous les mauvais vers de Cocteau, à l'exclusion de tous les autres." (p 132). (7 04 2004)
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