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Jacques Ars 0666 304 111 |
| Ma dernière intervention sur cette page date du 1er Septembre 2006 | ||
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RACHILDE voir la fiche de cet
auteur. RACHILDE ET ANDRE DAVID. RACHILDE et M. F. de HOMEM CHRISTO. RACHILDE et Jean-Joë LAUZACH. sur la fiche de l'auteur |
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Raczymow, Henri. Maurice Sachs ou Les travaux forcé de la frivolité. Paris : Gallimard, 1988. voir à Sachs Maurice.. |
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dessin de Cocteau sortie de : Raymond Radiguet / Textes inédits. Paris : Cahier Tendances, Henri Massis. Editions des cahiers libres, 1927, 103p. Les Années folles de Raymond Radiguet / Oduard, Nadia. Paris : Seghers, 1973. Et une attention toute particulière à Monique Nemer qui a écrit : Raymond Radiguet, chez Fayard, 2003, 520p, et commenté l'édition du Diable au corps et du Bal du comte d'Orgel dans les Cahiers Rouges de Grasset, 2003, 346p. (23 1 2004). |
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RADIO SAVANE. Dans l'optique de mes idées des années 83, -aux gays et lesbiennes, célibataires disponibles, d'animer la Culture-, nous avions fondé, à côté de l'ADHO, l'association Kanal Gay pour faire des émissions radiophoniques et repris peu à peu Radio Vilaine, ex-radio pirate, ex-radio de cette gauche associative qui fit le succès de 1981 et qu'avait lamentablement laissé tomber le maire pour s'embourber dans un projet municipal désastreux et ruineux... Déjà à cette époque! Rebaptisée Radio Savane, au ton et à la liberté totale mais hélas sans moyens, elle a vécu deux ans et elle a formé nombre de personnes que l'on retrouve un peu partout, Christophe Brault par exemple. A sa dissolution, (pour parer à une faillite qui s'annonçait), des dissidents fondèrent l'ancêtre de Canal B. Les indemnités versées à Kanal Gay par les repreneurs pour son éviction de la bande FM, après la fusion de Kanal Gay et de l'ADHO, furent placées en parts de "Bernique Hurlante" et ont depuis rapporté assez d'argent pour fonder cette bibliothèque. Quand on sait que les deux repreneurs étaient les deux hommes politiques les plus controversés du département, G. Magnan et A. Madelin, je m'amuse que ces droitiers extrêmes aient contribué autant à la cause homosexuelle locale, surtout que niais entre tous, ils perdaient leur autorisation d'émettre 6 mois après... Etude sur Radio Vilaine / doc. de Daniel Ruelland sur "Radiologie de quartier". IFS, Rennes, mai 1982. La Gazette des savanes. Programmes et humeurs. Les 12 numéros (1985-87). Radio Savane : rapport de stage / par Martine Flandrin. IUT, CS 2e année, mars 1985. |
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Raffalovich, Marc André. L'Affaire Oscar Wilde. Lyon-Paris : Storck (et Masson), 1895. Uranisme et unisexualité Etude sur différentes manifestations de l'instinct sexuel. Lyon-Paris : Storck (et Masson), 1896. |
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Ragon, Pierre. Les Amours indiennes ou l'imaginaire du conquistador. Paris : Armand Colin, 1992. |
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RAMBACH, Anne et Marine. Les Fondatrices des Editions gaies et lesbiennes. Intellos précaires. Fayard 2001. La Culture gaie et lesbienne. Très intéressant point de vue de deux jeunes lesbiennes anciennes militantes d'Act Up. Un livre écrit à quatre mains (il y a parfois une impression de redite) et pas de réflexions prises de tête, et une critique bien vue du nombrilisme des "gays" (le Je dans la littérature gaie masculine p 286 à 296). Les maisons d'éditions LGBT : p 188 ; Un petit coup de gueule contre l'infamie des gais lesbophobes -"la misogynie est une erreur politique"- (p 191); Un petit mot retranscrit de Michaela Frigioloini : la classe politique "s'illustre dans cette confortable et doucereuse technique qui consiste à éluder les questions en distillant de la "tolérance"" (p 226). Et surtout, car le sujet est encore peu abordé, une très intéressante réflexion sur l'extrême droite (p 246 à 256), la différence originelle entre un Hirschfeld juif et Adolf Brand, viriliste, voire nazi, et les suites homo-fasciste avec Ernst Kühnen, ou le journal Gai-France et sa participation à l'UEEH de 1987 (p 253) ; La censure encore actuelle dans les mangas LGBT (p 266) ; la culture gaie et la médecine (p 280) ; le polar LGBT,( p 356 et suivantes); la science fiction (p 371), où il manque je pense beaucoup de chose ; pour finir par les textes érotiques lesbiens (p 397). Petits extraits des débuts : "D'aucuns prétendent qu'il n'y a pas d'homophobie en France, alors qu'elle est évidente dans une multitude de milieux : les banlieues, les communautés religieuses, le monde ouvrier, la police, la pègre et les prisons, le monde sportif, les villages, voire les petites villes, la province en général, beaucoup de communautés étrangères en France, l'industrie, certaine bourgeoisie conservatrice, les notabilités locales, les chasseurs, etc... Tout cela, cumulé, finit par faire de grands espaces "logiquement" homophobes. Alors les lieux communautaires, de respiration et de soutien, se glissent dans les interstices. " (p 45). "L'opposition perdure entre ceux (et celles ? Nde JA) qui réclament le "droit à l'indifférence", en affirmant leur totale banalité, celle de leur sexualité et de leurs sentiments, qui souhaitent que la société ait "une bonne image de l'homosexualité" - c'est à dire au fond aucune, comme l'eau n'a pas d'odeur-, et ceux (idem celles ? ) qui pensent avoir, en échange de l'obtention du Pacs, vendu l'âme de la gaititude. " (p 151). Bien vu sur le barback : " On ne peut qu'être frappé par le fait que Guillaume Dustan et Erik Rémès représentent justement dans leurs oeuvres une homosexualité douloureuse et presque dramatique, mêlant ainsi des discours modernes sur la gaititude (fierté, contestation) à une vision ancienne (fatale) de l'homosexualité." (note page 178) Fayard, 2003, 415p. (23 10 2004) |
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RAMSTER, John (1967 anglais - ). Le Choix de Simon. Un gay couche avec une femme. |
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Ransome, Arthur. Oscar Wilde (Traduit de l'anglais, par G. de Lautrec et H.-D. Davray). Paris : Mercure de France, 1914. |
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Rast, P.-D. (pseudonyme). Pédérastie active. London – Paris : Société des bibliophiles, 1907. |
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RAUCOURT, La. Une comédienne à la vie hallucinante. La Raucourt et ses amies |
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| RAVENNES, Alain. Livres de l'auteur en vente sur ce site | ||
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RAY, Man. Jean Cocteau, Le numéro Babette. Paris : Jacques Damase, 1980. |
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Raynaud, Ernest. La Police des mœurs. Paris : Malfère, 1934. |
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RAYS, Gilles de (ou RAIS ou RETZ) (1404-1440). Nombreuses études en vente sur ce site. |
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Rebell, Hugues. Pour Oscar Wilde : Des Ecrivains français au secours du condamné. Rouen : E. Brunet : Association des amis d'Hugues Rebell,1994. |
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Rebierre, Paul. Joyeux et Demi-Fous. Tares morales et psychiques : Homosexualité, Simulation, Cafard et Impulsivité. Paris : A. Maloine, 1909. |
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REBOUX,
Paul. Sens
interdits. Sodome et Gomorrhe.
Remercions à jamais
Lady Pouët qui nous a apporté ce livre rare, édité à M dédicace à Henri Duvernois►► Le Jeune amant. Paris : Flammarion, 1928, 289p. Le Nouveau savoir- aimer. Paris : Flammarion, 1938.
Mes Mémoires
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| RECH, Jean-Louis. Les Nuits africaines. H&O. www.ho-editions.com | ||
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RECHERCHES (Revue). Trois milliards de pervers. La revue mythique du début des mouvements homosexuels. Des signatures prestigieuses : Cressole, Deleuze, Foucault, Genet, Guérin, Hocquenghem, Sartre,... Mars 1973. Deux éditions, dont au moins une avec 1 seule couverture, une autre plus luxueuse et complète avec des couvertures interchangeables. Jean Le Bitoux en venant au bar en juin 2002 m'a donné les explications : une seconde édition, expurgée de quelques textes "hot" a été préparée par Guy Hocquenghem (Jean n'approuvait pas). C'est aussi avouons-le un travail d'édition beaucoup moins coûteux. |
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RECHY, John. Cité de la nuit. NRF, Hors série, 1965, 468p, 140x205. L’étrangère, Gallimard, 1993, 632p. La Nuit vient. Le Rayon / Balland.
Rush.
Un
roman comme ne peuvent que les aimer les historiens de la cause homosexuelle :
non pas que le style soit excellent, mais que le sujet est très typique d'une
époque : les quelques années qui séparent l'ouverture des bars à back-rooms cuir
de l'arrivée du sida. Quelques années de liberté en folie. C'est un roman très
classique dans sa forme : unité de lieu, le bar à backroom, le Rush, sur les
quais de New York " interdit aux gros, aux efféminés, au plus de 35 ans" (p
251), encore trè |
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REDNI, Jean. Lentulus et Asclytos. Paris : Maurice Glomeau, 1904. Les Deux amants de Baïa. Paris : Maurice Glomeau, 1903. La Jeunesse de Sapho. Paris : Maurice Glomeau, 190?. Luxures antiques, voluptés tragiques : le livre du désir et de la cruelle volupté, les éphèbes de Baïa, la jeunesse de Sappho. Paris : Édition française, 1908. Luxures antiques, voluptés tragiques. Paris : Maurice Glomeau, 1905. |
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REED, Jeremy. Jeunesse androgyne. Granit, 1993. |
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REED-MARR, P. J.. Maudites sans hommes / trad de l'américain par Serge Ouvaroof. Une petite histoire dans le monde carcéral féminin, une belle condamnée (pour prostitution) et une psychologue (qui aimerait nommer l'homosexualité) arrive en même temps dans une prison et provoque une petite révolution. Surveillante "bucht", Reine à détrôner, amours lesbiennes, meurtres et passivité de l'administration... Un petit roman pas désagréable. Surtout que cela n'a pas du s'arranger aux USA. Paris : Editions Karolus, 1961, 284p. ( 7 02 03). Petit courriel reçu le 23 1 2004 : "Vous oubliez : préface de René Floriot, qui à défendu ce livre devant la 17ème chambre correctionnelle, et qui à obtenu la relaxe pour l'éditeur. cordialement, l'éditeur, Jean PIC" |
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REGINE. Appelle-moi par mon prénom. Bon d’accord, avec Alice, Dalida, il ne manque plus que Mylène pour faire une panoplie des spectacles travelos. Les années 70 défilent, dans ce milieu d’homosexualité giscardienne, Le Luron et tous les autres, avec des boîtes comme le Fiacre pour garçons et le Carol’s pour filles (p.186). Si la partie "Pour trouver des diamants il faut soulever beaucoup de cailloux" (p.372) est un tantinet agaçante et prétentieuse : "Il y a toujours eu une fille de la rue pour fréquenter les milieux riches et chics. Eh bien! Disons que pour ce siècle, ce sera moi" (p.281), la première partie de sa vie d’adolescente juive-polonaise pendant la guerre, est émouvante. Elle qui échappe à Klaus Barbie grâce aux allemands. Puisse cela donner quelques neurones à nos pétasses de droite quand elle raconte qu’elle n’a pu avoir la nationalité française qu’en 1969, parce qu’elle était divorcée et que son père ne l’a jamais eu parce qu’il était diabétique! (p.400). Référence : Livre de poche, 1986. |
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REICH, Wilhelm (1897-1957). La Révolution sexuelle. Révolution marxiste et liberté sexuelle. Un incontournable dans l'évolution morale de notre société. |
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REIK, Théodore. Le Masochisme. Payot, 1971. |
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REJA, Marcel. La Révolte des hannetons. in Mercure de France, 1 mars 1928, p 324-340. |
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RELIGION. Je mets ici ce qui peut concerné les religions, en signalant que je suis athée voire athéiste, mais que l'histoire des religions, l'exégèse biblique, l'époque des premiers chrétiens m'intéressent beaucoup. (23 06 2006) Petites notes : ►►►Quand on parle de premier évêque homosexuel nommé, je rigole un peu. Disons premier évêque qui s'assume comme homosexuel, non ? ►►►Je ne suis pas du genre à réclamer la reconnaissance de l'homosexualité dans les Eglises. Les Eglises étant des confessions privées, sexistes, elles peuvent faire ce qu'elles veulent dans la limite du préjudice aux autres. Qu'elles ne veuillent pas des LGBT, puisque Dieu n'existe pas, je ne vois pas ce que cela change pour nous... Par contre quand elles détiennent des pouvoirs civils, comme dans beaucoup de pays, qu'elles nuisent ou harcèlent les LGBT, elles sont des ennemies auxquelles il faut faire la guerre, sans plus de pitié qu'elles en ont pour nous. Qu'avec le Verbe, évidemment. (23 06 2006) ►►► 20 Octobre 2004, je mets un petit texte puisque depuis 2 mois dans notre cher quotidien local Ouest-France, une petite polémique à lieu via le courrier des lecteurs sur l'existence de Jésus et de la vierge. Voici mon petit texte : Jésus et Marie, Olivier et Arlette. Bien que athée –sinon athéiste- je lis avec beaucoup de plaisirs ces temps-ci vos courriers des lecteurs sur la part de mythes qui fonde notre culture catholique et romaine, - ça m’intéresse car j’y suis né, je n’ai pas choisi-. Pour moi, je tiens pour sûr que tout ce qui concerne Jésus ou Marie et sa vie sont des éléments rapportés, souvent historiquement datés (et parfois récemment) autour de la construction d’une image fondatrice de la religion chrétienne. Mais là n’est pas mon amusement ni ma polémique, car si l’on peut contester l’existence du Christ, -et se poser la question, c’est quand-même déjà bien-, personne ne met en doute l’existence très tôt de groupes de chrétiens !!! Que le Jésus que l’on nous enseigne n’ait pas existé, je dis sans doute, mais que des chrétiens soient ses contemporains, je dis surement ! Mais qui étaient-ils, d’où venaient-ils, que voulaient-ils ??? Et cela, c’est très amusant comme thème de réflexion : en effet, d’après ce que je crois savoir, comment un petit groupe de juifs plutôt d’ « Ultra –gauche » (désolé de l’anachronisme), les Esséniens, on réussit en 300 ans à prendre le pouvoir d’un des plus grands empire mondial de l’époque ? Et comment ont-ils réussi à le conserver jusqu’à nos jours en réécrivant constamment au fil des siècles leurs mythes fondateurs, Jésus en autre, puis dernièrement, Marie ? Comment ont-ils pu transcender l’image divine du pouvoir (l’Empereur romain) en un fils de dieu éternel, pris souvent par le chrétien moyen pour Le Dieu lui-même ? Et pourquoi ? - Pour rendre la Rome des Pontifes (chefs du culte des empereurs) éternelle ? (Réussite à mon idée, j'ai du mal à comprendre moi, la notion de chute de l’Empire romain, quand on voit sa survivance (ou sa transcendance) dans le Catholicisme, Un et Romain, mais c’est une autre question). - Pour la survivance d’une théocratie uniquement masculine ? Ou, etc. etc.….. Bref, pour faire de la politique fiction, et finir élégamment, je m’amuse à penser que si un petit groupe de gauchistes actuels avait comme but ultime de prendre le pouvoir sur l’Empire Américain, et y réussissait dans quelques siècles, qu’elle serait l’image dans deux mille ans de notre petit facteur Besancenot : Aurait-il Arlette pour Vierge Marie ? Je n'ose pas la voir en Marie-Magdeleine ... Mais qui sait ? Bon l'article n'est pas passé dans Ouest-France le 17 Octobre 2005 je me permets cette petite remarque : si on part du fait que le Christ n'a pas existé, on peut penser que l'anti-sémitisme a été orchestré par les élites chrétiennes pour faire disparaître les seules personnes capables de prouver que le Christ était une invention. A l'aube de l'ère chrétienne les Juifs écrivaient, ils savaient garder la mémoire. D'où cet acharnement au fur et à mesure que le dogme chrétien devenait de plus en plus farfelu et théâtral à détruire et les écrits juifs et la mémoire juive par l'extermination des individus... A méditer.... le 1 Novembre 2005. Dans Léon Poliakov "Histoire de l'antisémitisme, Tome I L'âge de la foi ", (je précise que je suis un "gentil" et que ce livre m'a semblé extrêmement bien écrit, (trop peut-être, mais je ne suis pas un spécialiste, écrivez ... ou n'écrivez pas le monde est trop endeuillé de cons antisémites) pour finir par le prendre comme un "polar" de l'horreur faite aux juifs à travers les 1800 ans de l'histoire post-JC) il a l'air de citer un nom pour cette thèse: Gavin Langmuir. ??? Vous en avez qqchose vous ? En fait maintenant je suis très intéressé par le fait de savoir (tant que faire se peut) qui sont les chrétiens si Jésus n'a pas existé ?.. 20 12 2005 : je cherche, je lis : la vie de Flavius Josèphe, extra, l'histoire de l'anti sémitisme de Poliakov pour les premiers siècles, les origines du Christianisme, les écrits de la Mer Morte pour leur commentaires... tout cela me laisse bien sceptique. J'en reparle, après Noël ! (corrigé le 23 06 2006.) ►►► Da Vinci Code. Vous vous souvenez peut-être du petit texte que j’avais fait à la suite d’une série d’articles lassants sur la vierge parus dans les Ouest France d'Oct 2005, où j’avançais l’image d’Arlette et Besancenot pour illustrer lestement la prise de pouvoir en peu de temps d’un petit groupe de juifs d’extrême gauche sur l’Empire romain sous couvert de Jésus et de Christ. Depuis j’ai ma foi beaucoup lu là-dessus ; je suis même tombé dans le virus de l’histoire des premiers siècles de l’Eglise, et de la création du mythe de Christ. C’est passionnant et souvent très éloigné de ce que l’on nous dit. Et puisque le Da Vinci code nous met tout cela à la mode je vous fais part de mes lectures. Je suis parti de l’idée que si Jésus n’avait pas existé les seuls qui étaient capables de le prouver auraient été les juifs, peuple lettré ayant une grande culture de l’écrit même sous l’Antiquité. D’ailleurs l’antisémitisme de l’Eglise ne serait-il pas né de la volonté de détruire ceux et celles qui auraient pu témoigner de la vérité ? Pogrom de gens, pogrom de livres, voilà une façon bien radicale de cacher le passé. Alors j’ai commencé avec Poliakov, son Histoire de l’antisémitisme, assez édifiante, L'Histoire des juifs par Josy Eienberg, et la Vie de Flavius Josèphe, par Mireille Hadas-Lebel chez Fayard. Une vie incroyable, digne des plus grands péplums, et où l’on se rend compte qu’entre -63 et 135 les juifs vivent dans un climat politique, social, culturel et religieux d’une violence et d’une eschatologie (croyance en la fin du monde) incroyable ! Guerre civile entre les pauvres et les riches, guerre extérieure avec les romains, guerre culturelle entre les « hellenistes» (à qui nous devons la traduction de la Thora et notre bible) et les "sémitiques", guerre religieuse entre les « purs » et ceux qui veulent s’ouvrir aux « gentils (nous) », guerre entre les tenants du calendrier solaire et du calendrier lunaire (on sait à quel point la fixation des dates religieuses sont des points sensibles, sans parler de tous les cultes solaires moyen orientaux qui existent à l'époque et auquel le christianisme emprunte tant d'images) etc etc… avec souvent des prophètes qui s’auto- révèlent et une abondance de Jésus… Dans Jésus de Charles Guignebert chez Albin Michel, - une publication qui date des années 30 et fait le point sur l’exégèse biblique nombreuse visiblement en Allemagne à la fin du XIXième siècle -, il y a une approche assez agréable intellectuellement : Oui Christ existe, car celui-ci (d’après St Paul) n’a de réalité qu’après sa résurrection et appartient donc entièrement au mythe religieux qui échappe à l’analyse des scientifiques ou des athées. Par contre pour Jésus et malgré Renan ou Voltaire, après une longue analyse de tout ce qu’on peut en dire, il avoue que quasiment rien ne tient debout, mais qu’en même temps, si le mythe avait été créé de toute pièce, il aurait été mieux fait et moins incohérent. Dans sa dernière page on peut en déduire une image : à la source d'un grand fleuve il n'y a qu'un filet d'eau, mais à son embouchure que reste-t-il de cette eau ? humainement rien, mais peut-on dire pourtant qu'il n'y a pas d'eau du ru originel ? Point de vue rigolo mais pas déplaisant. En fait on retrouve sous sa plume et celle de beaucoup d’autres un Jésus galiléen, de religion sectaire nazaréenne (et non pas de Nazareth), entouré de femmes et de frères et sœurs. J’ai complété ces notes avec Aux Origines du christianisme chez Folio Histoire (un peu curailleux) ou mieux Les Manuscrit de la Mer Morte publié chez Tempus, aux commentaires plus modernes, (savez vous qu’heureux les simples d’esprit (…) est une mauvaise traduction de « heureux ceux qui vivent simplement sous le souffle de Dieu », c'est aux grenouilles de bénitiers qu'appartient le Royaume de Dieu ! Sans vouloir vexer personne le Temple y apparaît comme un immense abattoir qui défend son monopole et alors qu’on parle beaucoup de la place des homo dans l’Eglise, je me demande quelle est la place des végétariens ou des sourds sous ce dieu là ! ) D'ailleurs la publication des Manuscrits de la Mer Mort ou de Qumran, est à elle seule un vrai polar racontée par Neil Asher Silberman dans La Vérité de Qumran, et où le Christianisme est une "Inversion" des sectes esséniennes la pureté de la foie de la pratique religieuse sauvera seule Israël par la prêche paulinienne : aimons nos ennemis et le christ sauvera tout le monde. Bref, je me demande si le christianisme ne serait pas la réussite d'un pari un peu fou né dans le groupe de Paul : Romains, vous avez voulu nous faire adorer votre empereur, nous allons vous faire adorer un huluberlu fils de charpentier, coûte que coûte... réussi, ce pari, non ? Christ à Saint Pierre de Rome, vengeance du peuple Juif, moi cela me plait bien. et pas si éloigné du pari d'Arlette et Olivier, tous comptes faits. On peut lire aussi L’histoire de l’Enfer de Minois chez PUF, utile pour prouver que l’Eglise s'est servie de la peur pour son unique pouvoir (l’enfer n’existe pas chez les juifs et dans la bible). Quant à la dérive machiste des hommes d’Eglise, et leur élimination des femmes c’est très bien dénoncé par Uta Ranke-heinemann dans Des Eunuques pour le royaumes des cieux chez Pluriel. D’ailleurs, il faut que je lise là-dessus l’Histoire de la Circoncision, car il semble que l’explosion des premiers groupes chrétiens parmi tous les « gentils judéisés » qui fréquentaient dans l’Empire Romains les Synagogues (on dit 10°/° du monde romain) soit due au fait que les premiers « prêtres » aient permis d’adorer le Dieu des Juifs sans être circoncis. Déjà la bite et la peur de la castration au départ du Christianisme ? Ca expliquerait bien des choses, non ? (16 5 2006) revu le 23 06 2006. ►►► Ranke-Heinemann Uta : Des Eunuques pour le royaume des cieux. Excellent ouvrage qui pose la question de la masculinité de l'Eglise, de son élimination volontaire des femmes au cours des siècles et de son hystérie sexuelle. (mot fort pour cette femme qui occupa une chaire de théologie catholique et se trouva virée pour avoir raisonner différemment sur la virginité de Marie). Petits extraits pour un livre tout à lire : Guillaume d'auvergne († 1249) (qui répond à ceux qui prêchent l'idée aristotélicienne que la femme est un homme imparfait), évêque de Paris, objecta que si l'on qualifiait la femme d'homme imparfait, il faudrait également considérer l'homme comme "une femme parfaite", ce qui avait de redoutables relents d'"hérésie sodomique" (De Sacr. matr. c.3) " (p 211) . Les pénitentiels(manuel de confessions) vers le XIIe siecle : Les questionnaires de confessions remplissaient, semble-t-il, dans certains cas la même fonction que notre littérature pornographique. Car les Laïcs étaient en général novices en matière de sexualité, à la différence de leurs confesseurs qui parlaient en experts. On s'interroge encore aujourd'hui sur les sources de cette science qui souvent dépasse de loin les connaissance du citoyen moyen. " (p236). St Thomas d'Aquin, misogyne impénitent (p 266). Saint Augustin qui écrit que la transmission du péché originel se transmet par le plaisir pris pendant la conception... (p293). La masturbation (p 329 et suivantes), et un chapitre consacré à l'homosexualité p 365 et suivantes. L'Eglise approuvant le morale sexuelle d'Hitler mais préférant les internements en camp de concentration à la stérilisation au nom de la lubricité non procréative des castrats ! (p 376). La virginité de Marie (p 393.) Il y a bien d'autres choses, mais l'ayant lu il y a plus d'un an je n'en fait que ce petit résumé ! ( 23 06 2006) 12 Sept 2006: Petit complément de lecture : pour cet univers passionnant qu'est la Palestine au début de l'ère commune (pour reprendre une appellation plus généraliste), Un Homme nommé Salut par Jacqueline Genot-Bismut donne un point de vue issue de la culture juive. Très intéressant mais assez difficile d'accès, il insiste sur l'évangile de Jean (le plus près d'après l'auteur de l'hébreu), sur le rôle de l'enseignement de l'écriture rendue obligatoire peu avant cette époque (d'où l'apparition d'une classe de laïque qui conteste les prêtres), et du conflit provoqué par les pharisien qui tentent d'imposé leur croyance en la résurrection du corps ... (Paris Oeil 1986) 12 septembre 2006 Et puisque pour ceux et celles qui suivent vous savez que je suis plongé (et oui que é) dans l'histoire et le pourquoi des premiers chrétiens je vous livre une réflexion : Pourquoi nos religions sont-elles si morales ? ou pourquoi nous avons plus que des religions coupe-zizi et cache foufoune ? Je me pose la question de l’évolution des religions euro-méditerranéennes vers la moralité (au sens punitif et coercitif du terme en matière de sexualités). Est-ce une défense collective inconsciente face à une maladie sexuellement transmissible comme le sida ? Les recherches sur cette maladie (l’histoire du sida, Mirko Grmek ) ont tendance à affirmer que le VIH est un virus endémique aux singes et qu’il n’y a pas de raison de penser qu’il n’ait pas déjà plusieurs fois contaminer l’espèce humaine. Si sa virulence tient au hasard de la contamination, (contact, chasse, apprivoisement, cuisine des singes) sa propagation est directement liée aux modes de vies de l’espèce humaine à un moment donné. L’apogée de l’Empire de Rome, contemporaine de l’extension chrétienne, avec sa civilisation urbaine, le développement des transports de populations (volontaires ou forcés par la mise en esclavage), ses contacts avec l’Afrique, sa liberté sexuelle me semble un moment de l’Humanité très propice au développement de cette maladie lente... Si c’était le cas (c’est juste une réflexion) les groupes sociaux qui auraient prôner et pratiquer une morale sexuelle plus restrictive, se seraient retrouvés en face de la maladie plus forts, plus nombreux et plus dominants. Ainsi la diaspora juive aurait été favorisée par sa morale et son endo-sexualité (les textes antiques accusent souvent les juifs de refuser les contacts sexuels avec les non juifs). Autour de la diaspora, vivaient les non-juifs adeptes du Dieu unique les « gentils » les « craignant dieu », (j’ai lu qu’on les estime à 10°/° de l’Empire) qui devinrent les premiers chrétiens. Dans ces groupes ceux qui auraient prêché et vécu la morale la plus forte auraient été d'autant plus favorisés face au virus qu’ils ne pratiquaient pas la circoncision (qui rend le pénis moins réceptif au virus). Restriction sexuelle qui ira grandissante au fur et à mesure de la chute de l’Empire. Instinct inconscient de survie quand les plus tolérants « dégénèrent » et meurent (d’un antique sida) ? De même, si les populations pratiquant la circoncision ont été favorisées, je me fais la même réflexion pour l’Empire d’Orient où les musulmans, sur un terrain idéologique et politique favorable, (l’Arianisme qui nie la divinité de Jésus et est sévèrement réprimé) vont sortir gagnant. Enfin bref, ce n’est qu’une réflexion soumise au vent des internoceurs et surtout pas une admonestation à la moralité, mais à sortir couverts !!! Vive la parole d’Yvan & Gilles ! … Jacques Ars 12 09 2006 Petite réponse à ce courriel bien sympathique : "Bien sûr que d'autres religions auraient pu faire l'affaire (le culte de Mithra, les Esséniens, la religion égyptienne où on pèse l'âme après la mort, etc...). Mais le christianisme l'a emporté pour des raisons politiques (Rome bien implantée en Palestine, et cet extraordinaire soldat "romain" ce Saül devenu Paul de Tarse qui, hélas pour nous, trouva son chemin de Damas. Maintenant, pourquoi une religion "morale" et non plus une religion dyonisiaque ? Serait-ce une mutation de notre génome, avec acquisition du "gène de la morale" ? Et que dire du Wahhabisme de l'Islam, des Savonarole et du puritanisme ? C'est un vaste domaine auquel vous vous attaquez. La nature humaine est tellement vaste et mouvante que je me demande s'il y a une réponse. H. " Ma réponse :- La religion musulmane n'est qu'une variante de la religion sémitique comme la chrétienne. (Comment peut-on se haïr quand on aime le même dieu.) - Pour reprendre le terme catholique, le Catholicisme est une transsubstantiation de l'Empire, même codes, même symboliques,...., et on peut se poser la question de la "chute" de Rome ... Serait-ce la lecture de quelqu'un venant d'une autre culture ? - Il suffit de lire n'importe quel auteur antique pour sentir que rien de génétique n'a été changé dans l'homme depuis si peu de temps, ni dans le physique ni dans l'intelligence . et
le sujet comme vous le dîtes est vaste, mais la toile internet est immense ....
bien à vous . (26/09/2006) |
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Pour en savoir plus, allez sur son site
! http://www.erikremes.net Guide du sexe gay. Paris : Edition Blanche, 2003, 381p. Photo prise lors du départ des UEEH, en 2001, par J. ARS. ► |
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 REMI,
Emmanuel.
Macadam boy. Silver Taurus production, 1982, 136p.
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Rémond, A.-Paul Voivenel. Le Génie littéraire. Paris : Félix Alcan. 1912. |
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RENARD, Charles-Noël. Les Androphobes. Saint-Etienne : Imprimerie spéciale d’édition, 1930, 324p. |
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| RENAUDIN, Edmée. Livres de l'auteuse en vente sur ce site | ||
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RENAUDOT, Patrick. Un Autre amour. C'est un premier roman et l'auteur a du mal à maîtriser une fin qui sombre dans le misérabilisme. Marc, heureux gay pendant les années "guerre d'Algérie" et mai 68, qui a "trouvé l'épanouissement en s'attaquant aux surmâles étincelants qui roulaient des mécaniques (...) [et qui] éprouvait alors l'ivresse d'enlacer une statue de muscles et de nerfs" (p.25), tombe amoureux de Carole, déjà mère de Christophe. Mais Christophe est amoureux de lui : "Non, je ne t'aime pas... je ne t'aime pas. Pas comme un père, pas seulement. Je t'aime comme un homme, entends-tu? Je t'aime, voilà tout..." (p.12). Puis tout dégénère dans l'alcoolisme du Marais : "Tu ne comprends pas que ce comptoir est mon rempart contre l'inexistence?" (p.132), dans l'inceste, les maladies du frère, la drogue et la prostitution du copain, le chômage, le suicide, etc., etc... heureusement qu'en 1985 on ne parlait pas encore beaucoup du sida!. Acropole, 1985. |
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Rency, Georges (pseud. de Albert art, 1875-1951). Georges Eekhoud, l'homme, l’œuvre. Bruxelles : Office de publicité, 1942. |
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RENDELL, Ruth. Une mort obsédante / traduction Pierre Ménard. Calmann-Lévy, suspense, 1996, 377p. |
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RENE, Commandant. Voir à C : Commandant René |
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RENOUARD, Michel . (Dinan 1942 -). Il était temps que je rende justice à cet universitaire rennais, habitué du Chat Bleu, rue du Pont des Loges, pour ses polards très gais sur le milieu rennais... Même si parfois l'écriture est un peu grosse et pourrait sembler homophobe... Non, non, juste un peu "clichée" et pour qui connaît Rennes, -ici la capitale du crachin- un tantinet moqueuse, avec son maire, Aga Pitbull, qui ne peut pas voir un arbre vivant dans le centre ville. La Java des voyous. Pour l'instant le plus "modéré" des polards que j'ai lu. Le Commissaire Gabacho se travestit à ses heures, Isabelle Bouchemaine s'ennuie de son mari prof de fac tout bon tout con, et derrière la gare le bar chaleureux de la matrone accueil toujours les paumés de la capitale de la pluie. Heureusement la rafle prévu chez les pédés compromet le commissaire homophobe. Par contre je ne suis pas sûr que de se raser enlève les morpions, mon cher Michel (p 117) ! (8 12 2002). Quimper : Alain Bargain, 1996, 190p. Les Castrat de Bombay. Bon la ficelle est toujours un peu grosse, surtout avec la lesbienne américaine ultra-féministe qui tombe amoureuse d'un castrat, mais le décors est exotique, et autant que je connaisse la merveilleuse ville de Bombay, exacte. L'inspecteur Gabacho rêve de travestissements, et l'homophobe de service fait tout sauter : " Sa première découverte de la ville, en compagnie de La Rosette, lui avait laissé une impression singulière. Tous les camions le narguaient en arborant ce qui, à l'évidence, était la préférence sexuelle des chauffeurs : TATA. Or, il se trouvait que Bocard haïssait les tatas. C'était à cause d'eux qu'il s'était retrouvé à l'hôpital psychiatrique. Leur morgue l'irritait. Eh bien, quand il aurait ses armes, il s'offrirait une petite gâterie et enverrait en l'air ces camions contre nature. D'autant que ces tatas arboraient des croix gammées, preuve que leurs moeurs politiques étaient aussi pourries que leurs moeurs sexuelles. " (p 73). Quimper : Alain Bargain, 1997, 189p. (1 07 2003) Requiem sur le campus. Le commissaire Gabacho mène l'enquête après le meurtre d'un professeur de langue rare. Milieu de l'Université, rebondissements sur la guerre d'Algérie, sur les moeurs.... un style plus simple qui ne nuit pas à l'histoire et toujours le patron du Bulgare ! (2 Juillet 2004). Alain Bargain, 1998, 188p. Le Bouillon de minuit. 1999. La Farine du Diable. Pendant les "Traînées de la nuit" et la Gay Pride, on assassine le président-fondateur de la L.A.P. (la ligue anti-lopettes ), pensionnaire d'une maison de retraite pour anciens scouts. La proximité du "Bulgare" bar homo décernant en même temps un prix d'homophobie à Marilyn Clistopopoulos (je vous avais prévenu, c'est lourd), la présence d'un ministre très fabusien (décidemment j'aime beaucoup qu'on se moque de cette fausse gauche !), et le fait que tout le monde à au moins une raison d'être coupable en fait un petit policier bien agréable à lire. Des petits extraits, mais c'est difficile de sortir un passage ; pour le maire, mais cela ne peut faire rire que les rennais (pour ceux qui se rappellent l'histoire des peupliers de la zup sud (p 116)) : "Des psychiatres s'étaient penchés sur cette pathologie spécifique au pays crachinois. Les freudiens soulignèrent que la dendrophobie, c'est-à-dire la haine des arbres, était en fait un refus de la sexualité, l'arbre étant pas excellence le symbole de la virilité. " (p 137). Quimper : Alain Bargain, 2001, 211p. (30 06 03) |
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Rétif de La Bretonne, Nicolas Edme (sous le pseudonyme de l'Auteur de la Chartreux. Par l'Auteur de la Foutromanie). Dom-Bougre aux États-Généraux, ou doléances du portier des couille d'or. Chez Braquemart, Libraire rue Tire-Vit, à la A Foutropolis, 1790 ca. (s.d.). |
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 RETTENMUND,
Matthew.
Boy Culture. Montblanc : H&O, 2002, 157.
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Reuilly, Jean de. La Raucourt & ses Amies Étude historique des moeurs saphiques au XVIIIe siècle. Paris : H. Daragon, 1909. Livres en vente sur La Raucourt |
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REUVENY, Yotam.( 1949-) Du sang sur les blés / trad Michèle Tauber. Petites suite de trois nouvelles, qui ont l'originalité d'être israéliennes. Le suicide d'un copain de régiment et le regret de n'avoir pas couché avec lui, quand un émigré roumain découvre les obligations de l'état hébreux, et de ses lois anti-homosexuels dans la police. "Si on m'avait demandé, au même moment, de résumer le chemin parcouru depuis mon village natal de Roumanie, en passant par les dunes d'Asshdod, la faim, la solitude, l'humiliation, le journal, les parcs publics, j'aurai répondu : la route du whysky. J'étais parti d'un point fortuit avec la certitude que le whisky avait un goût de souris pour arriver à un point encore plus fortuit, où il était devenu une boisson fabuleuse. Mais Oudi n'avait rien demandé, et au bout d'un moment, j'étais allé me coucher. " (p 33). Sur les arabes : "Ce Floussi-là jouit-il lorsqu'il couche avec un homme? Ses réactions physiques en témoignent affirmativement ; mais au moment du plaisir sexuel se livre en lui un combat entre le moi jouissant et le moi qui se doit de mépriser une telle jouissance - sauf en prison où elle est permise." (p62). L'amour : " Et plus d'une fois il a fait remarquer que l'unique soutien qu'un homme peut offrir à un autre homme en état de détresse morale est sa présence. Seulement sa présence. Les mots fatiguent. Le contact physique embarrasse. La peine vient puis repart. Et de la même façon les soucis et la peur. La présence. Une aide technique, comme de procurer un mets favori à quelqu'un qui ne se sent pas bien, ou acheter un cadeau susceptible de distraire l'individu en détresse. " (p 88). Le Serpent à plumes, 1998, 189p. (8 1 2003) |
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REVE, Gérard. Parents soucieux. Le Promeneur, 1996. |
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REVUE. Voir aussi à Périodiques. Revues en vente |
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REY, Françoise. Des Camions de tendresse / lectures amoureuses de Jean-Jacques Pauvert. Petit polard ou une femme fugueuse tombe amoureuse de deux routiers très bodybuildés gais et disco. D’autres ouvrages sont en vente de cette auteuse érotique au style agréable. |
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REY, Frédéric. L'Enarque et le voyou. |
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REY, Michel. L'amitié à la Renaissance Italie, France, Angleterre 1450-1650. Florence Institut Universitaire Européen, 1999. |
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Rhazis, Dr. Collection de sciences médicales élémentaires vol. 10. Pédérastes et pédérastie. Paris : De Porter, 1909. |
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Rhys, Jean. Rive gauche. Paris : Mercure de France, 1981. |
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Ribaut, Jean. Voyages en Floride 1562-1567. Nanterre : Éditions de l' éspace européen, 1990. |
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Ricaumont, Jacques de. Le Reniement. Paris : Jean-Cyrille Godefroy, 1985. |
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Richard, Marthe. Mon fils Gil. Paris : S.L.I.M., 1948. |
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 RICHAUD,
André de. (Ici d'après Denis K d'où me vient cet exemplaire dédicacé). Le Droit d'Asile (1943-1953). Seghers, 1954,
36p.
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Richepin, Jean. Le Cadet. Paris : G. Charpentier et Cie, 1890. |
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Rictus, Jehan. Fil-de-fer. Paris : Louis Michaud, 1913. |
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Rieu, Marcel. Méandres. Paris : Edition de Pan, 1912. |
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RIGAL, Muriel. L’Envers des choses. L’Athanor, 1977. |
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Lettres de sa vie littéraire (1870-1875). Paris : NRF, 1931, 240p, 118x185. Œuvres complètes. La Pléiade N° 68, 1946 et 1972, 1312p, 105x170. Correspondance (1888-1891). Paris : NRF coll Balnche, 1965, 228p, 118x185. Rimbaud raconté par Paul Verlaine / notes de Jules Mouquet. Dommage que le papier de ce livre soit très abîmé. J'en ai aimé le rythme, mélange de chroniques, de lettres, de jugements, de poèmes. Et s'ils promettent d'aller montrer leur trou du cul encore "vierge" à tout Paris pour démentir les rumeurs, ces simples deux vers de "Le Bon disciple" : "Vers toi je rampe, encore indigne! Monte sur mes reins, et trépigne" (1872) ont dû faire bander Di Caprio. Mais mon mari pensera-t-il lire "Laeti et errabundi" au jour de mon enterrement? Référence de lecture : Paris, Mercure de France, 261p, 1934. Lettres de la vie littéraire d'A. R. par Jean-Marie Carré. Revue Rimbaud. La vie aventure de Jean-Arthur Rimbaud, par Jean-marie Carré. Arthur Rimbaud par Lionel Ray |
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Les Dames de France. Paris, NRF coll. Blanche, 1977, 288p, 140x205. La Dernière fête de l’Empire. Paris, NRF coll. Blanche, 1980, 240p, 140x205. Les Jardins du consulat. Paris, NRF coll. Blanche, 1984, 264p, 140x205. La Maison des atlantes. Tonio a surpris le secret de M. Xavier et de ses amours clandestines avec un cordonnier corse. Denoël. Photo ci contre. ( 1981).L’Education de l’oubli. La Loge du gouverneur. Editions Denoël.
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RINSER, Luise. Les Anneaux transparents. Trad. de l’allemand par Clara Malraux. Paris : Seuil, 1956. Berlin, 1941. |
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RIOLAN, Dr. Pédérastie et homosexualité. Paris : F. Pierre, 1909, 108p. |
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RIVERSDALE, Paule. (pseudo de René Vivien et Hélène de Zuylen de Nievelt) Echos et reflets. Poèmes, 1903. |
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Rivère, Charles. Sous le manteau de Fourvière. Paris : Georges-Anquetil, 1926. |
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Rivière, Joseph. Camille Spiess Sa vie son caractère & sa pensée. Paris : Eugène Figuière, 1919. |
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ROBICHON, Jacques. La Mise à mort. Paris : Julliard, 1951. |
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ROBIDA, Michel. Sourires siciliens. Des petites histoires siciliennes très agréables, où l'on retrouve cette vision d'Italie qu'a colporté l'homosexualité des années 1900 à 1950 : de beaux garçons fiers d'être l'objet de désirs sexuels avant de se marier. A la Van Gloeden. Mais ce n'est pas pour toutes les histoires. ""les gens d'ici sont simples et rudes. Et, de plus, ils sont bons. Ils aiment à faire plaisir. Ce qu'on leur propose, ce qu'on leur demande est insignifiant et ne leur coûte guère. Et si cela leur plaît à eux aussi, pourquoi le refuser?" De ce point de vue, il avait raison; ce qui est irritant, c'est d'avoir un interlocuteur qui place mal le problème. Et puis, j'avais chaud. Vincenzo demanda un autre café. Je regardai autour de moi. on parlait toutes les langues sur cette terrasse, l'allemand surtout. Goethe n'avait pas pour rien découvert Taormina. Tous les guides citaient ses phrases. Et naturellement, ses compatriotes interprétant tout de travers les "affinités électives" les mettaient en pratique à leur façon. Et aussi des Suédois, des Danois, des Nordiques, des Américains. Et encore des Anglais, en souvenir de Ruskin; peu de Français, en dépit d'André Gide et de ses séjours à l'hôtel Timeo. (il n'y a là aucun orgueil national, un manque de devises plutôt.) (...) J'avais ri en découvrant au coin du Corso et de la via San Domenico ces cartes postales représentant de jeunes garçons aux coiffures démodées, vêtus de costumes antiques, ou d'un lambeau d'étoffe savamment drapé. Les légendes les nommaient Ahmed, Enrico, ou le "Piccolo Imperatore"... Il en fallait pour tous les goûts. Mais qui pouvaient-ils encore séduire avec leurs visages pâlis par un trop long séjour à l'étalage et leurs allures alanguies, empruntées aux Liane de Pougy de la belle époque ? J'étais très intrigué. Etait-ce là l'idéal d'un Gide, l'image à jamais fixée dans le cristal de sa rétine comme celle qui était inscrite dans la pupille de M. de Charlus? Je supposais aussi qu'Ahmed ou le Piccolo Impératore, oublieux d'une jeunesse fanée, étaient depuis longtemps devenus d'honorables pères de famille, entourés de marmaille et gentils avec leur progéniture, comme le sont tous les Italiens. " (p133 et 134). Julliard, 1958, 183 p. (2 07 2004) L'Enfant sage des années folles. Le troisième tome d'Un monde englouti, qui raconte les aventures de la famille Plestin-Crozon, et dont le dernier tome baigne dans la subtile ambiance des années 20. Une atmosphère très "gay", dans les personnages cités, Bérard, Cocteau, etc. et dans l'amour que porte l'oncle Robert à Antoine, le jeune prolo (lire la rencontre dans les lieux gais de Rome, p 184). Le style est assez fabuleux : du Proust à 150°/° pour une période qui suit sa mort. Le même point de vue sur le monde de l'auteur : un enfant que la maladie éloigne du mouvement et qui se fait son univers et décrit le même milieu, la grande bourgeoisie, les même "Madeleines", jardin d'enfance, habitudes 1900, et un personnage scandaleux par son premier mariage d'abord, puis par ses moeurs. Un style qui m'a emballé, si on aime Proust. Extraits : "A l'heure où nous nous y attendons le moins, souvent à celle où sa rencontre nous sera la plus pénible, la plus gênante, nous nous retrouverons face à face avec cette partie de nous-même que nous pensions avoir abolie et qui se dressera devant nous, pantelante, livrée à notre effroi, douloureuse et blessée comme au premier jour. Nous espérions que le temps en avait effacé jusqu'à la trace. Mais il ne nous appartient pas d'en détruire le souvenir comme de ces noms aimés inscrits par caprice sur le sable des grèves, en Virginie ou en Palestine où il nous manquait de les entendre, et que le moindre souffle de vent, le passage de la courte marée, anéantissent à jamais. Leur vie se poursuit, secrète, ineffaçable, gravée à même notre peau. "(p 292). "Si, dans sa tristesse, il emploie des mots, pour lui normaux, qui sont ceux de l'amour, le bonheur, le chagrin, le regret, on ne l'en estimera que plus méprisable de se servir des termes habituels pour camoufler ou excuser son désordre. Aurait-il l'audace de la faire passer pour naturel ? S'il essaye d'autre part de traduire les sentiments qu'il éprouve et qui lui paraissent honorables, il n'en sera jugé que plus sévèrement car ces mots si simples, si généralement utilisés, qu'il a la candeur ou la naïveté d'employer pour décrire sa peine, deviendront dans sa bouche un objet de scandale, et se retourneront contre lui". (p 222). Ce petit passage qui me fait beaucoup rire, et où l'on sent peut-être l'auteur, quand un vieux pense "éduquer" son mignon : "Tous les soins que nous avons pris auprès de l'être aimé pour atténuer les différences sociales, abattre les obstacles ou attirer son attention sur telle ou telle pratique qui dénote un défaut d'éducation, soigneusement évité pour nous satisfaire ou, peut-être, ne pas subir de reproches pendant qu'ils auront vécu auprès de nous, se retrouvent soudain, du jour où ils nous échappent, comme s'ils les avaient soigneusement mises à l'abri pendant leur liaison avec nous, ou comme si nous ne les leur avions jamais signalés. Et nous nous apercevons alors que non seulement ils ne s'en sont jamais complètement défaits, mais qu'ils les ont dissimulés en notre présence pour mieux s'y livrer avec leurs autres amis de leur âge. Peut-être même les accentueront-ils si possible, par bravade, dès l'instant où ils sont conscients d'échapper, non sans un frémissement de liberté, à notre fatigant amour, à notre surveillance." (p 161). Petite page sur Lannion, p33. René Julliard, 1972, 315p. (21 05 2004). Botemry. Un roman très breton : dans une grande maison au bord de mer, un vieux savant ruiné vit autour de ses trois enfants: Yves, très beau, ami un moment de Wilfrid, un beau danois qui couchera avec la Marie Calvez, maîtresse du deuxième frère, David. Et, héroïne du roman, la soeur , forte à cette manière de ces femmes hors du monde de la procréation, durcie aux vents marins et aux solitudes des landes, la soeur handicapée, Anne. Ce n'est pas spécialement gay, bien que la construction du roman, (tout est vu par les yeux de l'auteur enfant "Jean Bihan") laisse une part importante à la fascination pour la beauté d'Yves. "Anne les (Yves et le Danois) considéra un instant de ses yeux clairs. Quelques mots lui échappèrent que je compris mal, et dont je ne saisis que la conclusion. Ils me surprirent par l'expression rêveuse, le soupir dont ils furent accompagnés. "Yves, murmura-t-elle, est fait pour l'amitié, comme d'autres le sont pour l'amour. Hélas, l'un comme l'autre, ces deux sentiments sont aussi douloureux lorsqu'ils échappent à la commune mesure. " (p 116). l'intérêt du roman réside plutôt dans la description d'un formidable pardon qui finit en bagarre générale page 75 et suivantes. Paris : Julliard, 1946, 228p. (18 10 2005). |
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ROBIN, Gilbert. L’Enigme sexuelle d’Henri III. Paris : Librairie St Germain des Prés, 1974. |
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ROCHARD, J.J.. Apologie d’un salaud. Blond, allemand, méchant et naturellement porté sur le sexe fort. Stock, 1971. |
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ROCHEFORT, Christiane.( 1917, Paris -) Printemps au parking. Quand j’étais jeune, c’est un roman qui m'a fait autant d'effet que le film de Gainsbourg "Je t'aime moi non plus". Enfin une vision virile et simple de l'homosexualité! Et écrit dès 1969! Quand tu vas chez les femmes. Attention! Ce n'est pas le style de Printemps au parking, et la plume qu'a prise Christiane pour décrire les plaisirs anaux chez son héros hétérosexuel n'a rien à envier à celle que l'on nous attribue dans le cul! Bref, un catalogue de tous les fantasmes d'enculades par "tout ce qu'on s'y ait mis et depuis des temps immémoriaux, le catalogue des objets du culte ayant suivi comme il se doit l'avancée des techniques depuis l'artisanat, verreries, fruits et légumes, à la sophistication des vibros et gods à piles" (p.177). Le plus drôle c'est que son héros est une copie conforme de Gérard Miller! Les Stances à Sophie. Grasset, 1963. |
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RODES, Jean. Les Adolescents, mœurs collégiennes. Paris : Mercure de France, 1904. Voir la précision à Padres. |
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RODI, Robert. Folle de lui. DLM, 1997. L'honneur perdu des superhéros. H&O. Drag Queen. H&O. www.ho-editions.com |
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Avec un chapitre 14 : la mariage de Brigitte Bardot et d'un parachutiste : prolégomènes à une caractérologie qui a l'air aussi passionnant que le 12 : des souris et des homme ou le spleen des villes. mais je n'en sais pas plus. (14 1 2006) |
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Roegiers, Patrick. Raymond Voinquel. Paris : Paris Audiovisuel, 1993. |
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Roellig, Ruth Margarete. Les Lesbiennes de Berlin. Lille : Éditions GKC (Gay Kitsch Camp), 1992. |
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ROFFINELLA,
Martine. (1961). Elle. Phébus libretto, 1999, 103p. "Je
"tombe" sur votre site par hasard - bravo ! - et je constate que l'un de mes
livres ("Elle") y figure : merci ! " Bon je me fais plaisir, mais merci pour ce
mail, et la correction (à faire) qu'il m'a donnée. (13 10 2004) |
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L'Exilé de Venise / Michel Bulteau. Fabuleux ce destin d'écrivain anglais du XIXième siècle, catholique hystérique renvoyé du séminaire, paranoïaque et finissant sublime clochard à Venise. Etait-ce le Grand-Père de Quentin Crips ? ""Mais quelle ville adorable est Oxford ! Je l'appelle la cité de l'Eternelle Jeunesse. Tout ce qui n'est pas vivant est gris et ancien, collèges gracieux, jardins et rivière ensoleillée. Tout y est musique, antienne et chant. Connaissez-vous cette qualité de voix que j'appelle la basse d'une vierge ? Cette basse réservée et pleine de réticences d'un garçon de vingt ans qui, un jour encore, ne connaîtra pas de femme. Je l'ai entendue mardi dernier et en ai éprouvé une nouvelle émotion. Son extrême rareté, son éphémère splendeur la font d'autant plus précieuse. Je pourrais très bien vivre ici et travailler dans une paix divine " écrit-il dans une lettre." (p 101). Son amour des bagues (p 104). Importante bibliographie (en langue anglaise) à la fin de l'ouvrage.Editions du Rocher, 1990, 151p. (07 02 03). Images tirée de l'article d'un presse du 1er Juillet 1994. "Rolfe en 1886, quand il se décide à entrer au séminaire" Don Tarquinio. Londres, 1905. Paris : Gallimard, 1962. Hadrien VII. La Table ronde, 1962. Le Désir et la poursuite du tout. Gallimard, 1963. Les Borgia. Jean-Cyrille Godefroy, 1984. Lettres de Venise du Baron Corvo / Traduction Michel Bulteau. Le Rocher, 1990. A son Image /traduction Claudine Jardin et Vincent Giroud. Le Rocher, 1994 (?). Nouvelles complètes / 2 volumes. Mis "à paraitre à Le Rocher" dans l'ouvrage de Michel Bulteau études : A la recherche du baron Corvo / A.J.A. Symons. Gallimard, 1962. |
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Roissard, Jean. Manière blanche. Paris : Éd.des quatres vents, 1946. |
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ROLAND-MANUEL, Suzanne. La Trille du diable. Paris : Les Deux Rives, 1946, 671p. |
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ROLLAND, Léonce. Les Ephèbes. Alger : Ed de l’Imprimerie Algérienne, 1907. |
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ROMAIN,
Hippolyte. Les Chéries. BD. Dominique Leroy,
1984. Reportages. Régine La Couture épinglée. Notre Claire Brétécher. Que du dessin. Calmann-Lévy, 1990.
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Vu de la province, vos protestations contre le outing de E-mail à votre égard à sembler un peu un coup monté. Qu’en était-il ? Si c’est un coup monté c’est un journaliste qui l’a fait, ce n’est pas moi qui l’ait monté. Et puis si c’était une publicité, elle est bien mauvaise puisque à cause d’elle je n’ai pas été candidat à Paris. En fait j’avais eu le journaliste d’E-mail au téléphone avant. Il m’avait posé deux questions : « Allez-vous être candidat dans le quatrième arrondissement ? « Je lui ai répondu non. » ; « Allez-vous faire un coming-out ? » ; « Je lui ai dit non. ». Je ne voulais pas que l’on mette dans un article que j’étais homosexuel, et surtout pas dans E-mail, car j’avais prévu de le faire dans le Monde, plus tard, au mois de novembre et dans un contexte différent : il devait s’agir d’une interview sur la droite et sur les questions de société. En plus cela me laissait le temps de prévenir mon entourage, mon copain et ma mère. De plus, E-mail qui d’habitude n’est distribué que dans les lieux gais de la capitale, a été envoyé ce jour là à toute la presse. Dès le soir, j’avais 8 coups de fils de téléphone me demandant des explications. Quelles ont été les conséquences politiques pour vous ? A Paris, je devais être candidat en place éligible, et je ne l’ai plus été. J’ai refusé de me présenter alors, pour ne pas être le pédé de service. J’ai été relativement marginalisé et isolé, malgré le soutien de Juppé et de Roselyne Bachelot. C’est dur d’être un homo déclaré au RPR ? Je crois que c’est dur dans la politique en général, autrement comment expliquez-vous qu’il n’y ait que 4 élus ouvertement homosexuel ?. Le RPR n’est pourtant pas un parti spécialement homophobe. C’est le parti de R Bachelot, pas de MC Boutin, il ne faut pas l’oublier. Ce qui est dommage c’est son évolution ces dernières années vers un parti libéral au niveau économique, et conservateur, notamment au niveau des problèmes de société. Je ne m’y sens plus très bien. Nous n’avons pas bien analyser notre défaite à Paris. Au-delà des problèmes d’affaires, de divisions, si la gauche à gagner, c’est aussi parce que les jeunes, ce qu’on appelle les bobos, les homosexuels, ont refusé de voter pour une droite qui les a blessés pendant les débats du PACS. La droite ne peut pas revenir dessus, il faut qu’elle le dise, et donne des propositions pour l’améliorer. Quel parallèle faites-vous avec l’histoire de Philippe Meynard ? Elle est totalement différente, nous n’étions pas dans le même contexte : moi je vivais de la politique, lui possédait un sauna gai. Cette affaire m’a plutôt cassé qu’autre chose ; chez lui, de son malheur, il a su sortir un bien : il était un conseillé municipal inconnu, maintenant il est célèbre et conseillé auprès de F. Bayrou. J’en suis loin. Pourtant, comme lui, vous en faîtes un livre ? Quand il vous arrive quelque chose de négatif, vous essayer un moment de trouver du positif. Moi, je me suis dit que si au moins cela me permettait de me faire entendre ! Tant mieux, je vais l’utiliser dans mes actions, c’est ce que j’ai fait, et je continue à le faire dans ce livre. J’y explique un certain nombre de mes engagements, par rapport à ma propre identité, pourquoi je me suis engagé dans le sida, la toxicomanie, le pacs. Je donne un certain nombre de pistes, pour la droite, si elle veut enfin évoluer. Et votre mère ? Elle a très mal vécu cet outing. Extrêmement mal. Elle supportait mal le regard des autres ; Mais elle était avec moi pour les fêtes de pâques, je lui ai fait lire mon livre, et cela c’est bien passé. Elle a trouvé cela bouleversant, ce sont ses mots. Il y a pourtant des passages durs, comme celui sur les attouchements pédophiles dont j’ai été victime, gamin. On a abusé de moi et c’est dur pour une mère de l’apprendre. Elle a découvert des choses, et m’en a dit sur elle. Cela nous a permis de parler un peu plus et de nous rapprocher. On m’a volé ma vérité. L’épreuve des faits. Seuil, 2001.
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ROSA, Joâo Guimarâes. (Brésilien 1908-). ( J'espère que c'est le bon nom). Diadorim. Albin Michel, 1965, 439p. |
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Ronsard, Pierre de. La Bouquinade et autres gaillardises. Paris : Bibliothèque des Curieux, 1921. |
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ROSE LONDRE. Voir à Gripari. Histoires de prose. |
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ROSS, H. L. ; BATSELIER, S. de. Les Minorités homosexuelles. Bruxelles : Duculot, 1973. |
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ROSSET, Gilles. Masculin singulier. Julliard, 1962. Blanc Cassé. Paris, NRF coll. Blanche, 1983, 336p, 140x205. |
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ROSTAND, Maurice. Voir la page consacré à cet auteur. |
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| RETTENMUND, Matthew. Boy Culture. H&O. www.ho-editions.com | ||
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ROUART, Eugène. La Villa sans maître. Paris : Mercure de France, 1898. |
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ROUE, Paul. L’Inceste, sodomie, pédérastie. Paris : Offenstadt, 1904. Les Conflits sexuels. Paris : Offenstadt, 1907. |
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| ROUET, Marcel. Pour le plus connu des musculeux d'après guerre. | ||
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ROUHY, Christiane. Contre-voie. Du mariage à Lesbos dans les années 70. Paris : Editions Walter Rauschenbusch, 1990, 203p. (22 10 2004) |
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ROUILLIER, Marie-Victoire. (1945-1987). Un Corps en trop. Lettres d’amour d’une religieuse à sa tante, mère supérieure. Une ambiance très forte, très noire, la répression franquiste en Espagne, la mort de sa mère, sœur jumelle de sa tante dont elle est amoureuse, la mort de sa sœur, par amour aussi de la même tante, son désir fou d’amour qui s’oppose à la vie conventuelle… superbe ! « Mais pourquoi faut-il toujours que votre amour soit immense ? Qu’ai-je à faire de ces milliers d’égarés que je traîne à mon corps défendant jusque dans votre cœur ? Qu’ai-je à faire de votre bonté quand j’ai besoin d’être désirée ? Que m’importe votre sagesse quand je sombre dans la folie ? Malgré vos efforts, vous n’avez jamais su m’aimer, alors ne pourriez-vous tenter aujourd’hui de me rejoindre par des voies nouvelles, qui ne soient pas impénétrables, comme celles du Seigneur ? » (p 12). »Vous jeûnez pour entrer en communion, et moi je n’en finis pas de vomir un passé qui m’emprisonne. Je suis un funambule sur le fil déchiré de mon enfance. Laissez-moi me fondre en vous, m’enfouir dans votre giron, me construire un repaire dans vos bras ; laissez-moi trouver mon souffle dans votre haleine, et m’inventer un langage dans les mots d’amour que vous ne m’avez jamais dit ; laissez-moi coudre mes paupières sous vos baisers, pour enfin me voir dans votre regard. » (p 26). Mais évitez cette lecture si vous avez les idées noires, d’ailleurs l’auteuse se suicida après ce premier livre. Aix en Provence : Alinéa, 1988, 108p. |
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Rousseau, Jean-Baptiste. Épigrammes de Jean-Baptiste Rousseau, Ornées de gravures représentant les sujets les plus licencieux et les plus libertins. s.l., s.n., 1791. Le Bijou de société, ou l'Amusement des Grâces. Paphos, s.n., 1780, ca. (L'an des plaisirs). Le Cabinet de Lampsaque au choix d'Epigrammes érotiques des plus célèbres Poètes Français. Paphos, s.n., 1784. |
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ROUSSEL, Raymond (1877-1933). Locus Solus. Paris, NRF coll. Blanche, 1963, 272p, 140x205. Vendus en poche, prix sur demande. Pages choisies de Locus Solus et Impressions d'Afrique. Alphonse Lemerre, 1918. Les Oeuvres complètes sont sorties en 1963 chez Jean Jacques Pauvert : L'Etoile au front. 226p. La Poussière de Soleils. 1964, 200p. La Doublure. 194p. La Vue. 144p. Locus Solus. 1965, 320p, suivi de croquis reconstitués par Jean Ferry. Impressions d'Afrique. 316p. Comment j'ai écrit certains de mes livres. 324p.Nouvelles impressions d'Afrique ; l'Ame de Victor Hugo. 171p. Etudes :
La Vie de Raymond Roussel. Par François Caradec. Ce personnage
que les surréalistes ont pris pour modèle et qui mena une vie de fantasque
milliardaire est assez hallucinant. Désirant devenir célèbre, imprimant ses
propres écrits –d’où le jeu de mot Impression d’Afrique (impression à
Fric) il fit donner à coup de millions ses pièces de théâtre aux décors
cubistes pour quelques spectateurs médusés. Rejouées à une époque plus récente,
elles n’ont pas eu plus de succès. Moi, pour l’anecdote, j’ai surtout retenu,
en plus de son unique repas quotidien (lire les pages 302 et suivantes), son
invention du Camping car, qui connut un tel succès à l’époque, que même le pape
vient le voir ! « Cette voiture est une véritable petite
maison. Elle comporte en effet, par suite de dispositions ingénieuses : un
salon, une chambre à coucher, un studio, une salle de bains, et même un petit
dortoir pour le personnel qui est composé de trois hommes (deux chauffeurs et
un valet de chambre) » (p277). « Il est inutile d’éluder
l’homosexualité de Raymond Roussel. Elle n’a jamais fait aucun doute pour
personne ; mais elle n’a jamais été scandaleuse. On sait seulement qu’il
aurait été surpris dans sa jeunesse avec un palefrenier dans les écuries de
l’hôtel de la rue de Chaillot. Ce qu’il y a de certain, c’est qu’on ne lui a
pas connu de liaison masculine. (…) Michel Ney (…) fait allusion à des bagarres
dans des boîtes à matelots ! (…) Charlotte Dufrène (sa maîtresse officielle)
a dit à Michel Leiris que Roussel se contentait de passades « avec des
gens qui n’étaient pas de son milieu » (p107). Une de ses phrases les plus
célèbres : « Comment un train électoral en baleines de corset roule
sur des rails en mou de veau. » (p198), et donne l’idée des critiques qui
le suivirent : Pierre Veber : 1922, « j’estime déplacée la gaîté que l’on
cherc Raymond Roussel. par Michel Foucault. NRF, 1972, 210p. Une étude sur Raymond Roussel / Jean Ferry. Arcanes, 1953, 214p. Précédé de Fronton Virage, d'André Breton, dessins de A. P. Sault. Revue Bizarre, N° 34-35 ; Raymond Roussel. 1964.
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ROUSSEL, Yves. Le Mouvement homosexuel français face aux stratégies identitaires. Article dans la revue des temps modernes, N° 582, Mai-Juin 1995. |
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Roussin, André. Les Oeufs de l'autruche suivis de L'école des dupes. Paris : Éditions du Rocher, 1950. |
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ROUX, Claude (réd.). Catalogue du fonds Lacassagne. Lyon : Imprimerie Nouvelle Lyonnaise, 1922. |
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ROYER, Louis Charles.(1885- ?) L'Amour en Allemagne : choses vues!. Des descriptions du Berlin gay et lesbien, de l'Institut Marcus Hirschfeld, etc., etc... Ed. de France, 1930. Comme je l’ai fait pour Des Vallières,
permettez-moi de mettre ici aussi les autres ouvrages très hétérosexuels de
L.-C.
L’Algérie en rose et en rouge. Ed. de France, 1937. L’Amour à Honolulu.-Ed. de France, 1933. L’Amour au Soleil.-Ed. Rabelais, 1966. L’Amour chez les soviets.-Ed. de France, 1932. La Fille du Danube.-1950. La Maîtresse noire. Ed. de France, 1928. Et sur le naturisme, avec photos, Au Pays des hommes nus. Editions de France, 1929. Haras Humain. Nuits chaudes à Naples. La Maitresse noire. Démon Charnel. La Coupe Impure. Amour nordiques et tropicales. Dans les éditions des années 50, il y a beaucoup de couverture féminines que pour ma part je trouve très belles. les voir.
Livres de l'auteur en vente sur ce site
Demande de recherche (18 02 03) :
Monsieur,
Je suis enseignante à l'Université
technique de Yıldız à İstanbul et je travaille sur les traductions des romans
des années entre 50-70. A cet époque, nous voyons justement les traductions en
turc des livres de Louis-Charles ROYER, dont je les ai eu par votre
bouquinerie... J'ai fait beaucoup de recherches, même à Paris. Mais
malheureusement je n'ai pas pu trouver des
informations biographiques sur ce
personnage. Est-ce que vous pouvez m'aider à ce sujet? Si vous avez des livres
ou des documentations à ce sujet,je serais reconnaissante.
Cordialement Emine Demirel.
écrivez-lui directement :
mandem1@superonline.com
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ROYERE, Jean. Exil doré. Paris : Vanier, 1898. Poésies. Paris : Malfère, 1895. |
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ROX, Alain. Tu seras Seul. Flammarion, 1940. |
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RUQUIER, Laurent. Le Mois par moi. Lafon. |
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Ryner, Han. La Fille manquée. Paris : Genonceaux, 1903. |
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Rzewuski, Alex-Ceslas. A travers l'invisible cristal Confessions d'un dominicain. Paris : Plon, 1976. |
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Livres en vente dans la
bouquinerie : Explication de l'état : moyen est un état normal de livre d'occasion. - ou + indique un moins bon ou un meilleur état. |
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AUTRES AUTEURS SUIVIS A LA BERNIQUE |
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RAVAL Maurice (1875-1937) français. REID Forrest, (1875-1947) ami de E.M. Forster, anglais, Tom Barber, 1955. RIVIERE Lucie. |
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RIMBAUD,
Arthur (1854-1891). 
ROMERO, Jean Luc.
On m’a volé ma vérité. Résumé
de ma rencontre avec lui le
