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Le bouquiniste, jeune militaire, au pied du beffroi |
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| Ma dernière intervention sur cette page date du 1er Juillet 2006 | ||
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SHAKESPEARE, William (1564-1616). Textes et pièces en vente sur ce site, dans différentes éditions. Les Sonnets sont assez explicites. |
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SHEILA... Bon bon, l'égérie (?), il parait qu'il y a même des livres.. Mais mon copain Chouchy à tous ses disques dans sa voiture. Bon il est coiffeur, mais cela n'a rien à voir ! |
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 SHERMAN,
Martin. Bent / adaptation
Lena Grinda. Personna, 1981, 159p. |
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SHWARZENBACH, Anne-Marie. Nouvelle Lyrique (1933). Ed Verdier Lagrasse, 1994. Orient Exils. Paris : Ed Autrement, 1994. |
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| SIDA. Documents et livres en vente sur le sujet. Voir aussi les nombreux auteurs qui en ont parlé, avec, souvent, une grande beauté tragique. | ||
| SIGNE DE PISTE. Pour les amoureux de Joubert. | ||
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SILVA, Jean da. Le Salon de la Rose-Croix, 1892-1897. Syros, Alternatives, (Zigzags), 1991. |
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Simon, Linda. Alice B. Toklas Une américaine à Paris témoin des Année folles. Paris : Seghers, 1984. |
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SIMON, Michel (1895-1975). 728 jours avec Michel Simon / par Jeanne Carré. Cet énorme érotomane à la personnalité insupportable est décrit dans les derniers moments de sa vie par sa dernière compagne à qui, "quand ils vivaient ensemble, Michel se plaisait à [...] dire : "Tu m'as fait perdre le goût des homme"" (p.266). Des descriptions de boîtes PD à New York dans les années 70, et un Michel très proche de son personnage de Boudu. France Empire, 1978. |
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SIMON, Sophie. (1962-) Un sujet de conversation. Merci Monique Nemer, pour cet envoi de presse, et à Carlier pour avoir vanté ce livre à France Inter, vendredi 7 05 2004. Je l'ai lu juste après mon chouchou du moment, Patrick Gourvenec, Katia la nuit, une autre histoire et un tout autre genre, d'un côté une vie de travestie fantasmatique, de l'autre l'amère réalité. C'est très dur et Sophie Simon n'est pas tendre, ni avec elle, ni avec les autres. C'est parfois dérangeant, il y a des pages qui sont franchement transsophobes, mais il faut comprendre comment les oppressées intègrent elles-mêmes les pires clichés des oppresseurs (lire Eribon), et basta pour le politiquement correct. Elle accuse ainsi Coccinelle, par ses frasques, d'avoir empêché les autres de changer d'Etat civil (p 41), sans parler des pages 90 et suivantes où elle décrit une réunion associative de travestis parisiens digne d'un Ici Paris : "C'était un endroit collector, une façon musée archéologique croisé Barnum, une caverne emplie d'hominiens ailleurs disparus. Des Sylvie Vartan, usagées mais en état de marche, assez proches de la vraie ; des Ophélie Winter, approximatives mais suffisantes : les cheveux, les tics, elles avaient l'essentiel ; les Régine, par contre, étaient plus vraies que nature, et involontaires, je crois. Mais la tendance de l'époque, c'était Mylène Farmer - la néoféminité faisait partie de son mythe. Le culte du corps hypersexy et l'entretien de rumeurs sulfureuses assuraient à la ténébreuse poupée des ventes qu'elle n'aurait jamais atteintes avec des outils marketing traditionnels. C'était très tendance, et plus facile à contrefaire qu'une Marie Curie : le principal était à l'extérieur." (p 90). Et pourtant quand elle se suicide (raté) à coup de carabine, ce n'est pas non plus en Marie Curie qu'elle s'habille (p 226). C'est encore plus dur après, mais toute la richesse du texte est là, dans la cruauté de ce choix impossible, être une femme, oui, ou être avant tout un travesti, star et pute. Ce corps, aussi insupportable en masculin que transsexualisé, quand il n'est pas non plus "La" femme. Un récit cru, un récit qui se veut môche et dont on espère que l'écriture a pu apporter un peu de baume au coeur de son auteuse. J'ai beaucoup aimé sa position sur le milieu médical ou psy, ces exploiteurs du serment hypocratique ou hypocrite de la misère humaine. Il y a parfois l'envie d'humour méchant à tout prix pas forcément réussi : "il faut du coeur pour faire une famille. Comme pour la salade." (p 19). contrebalancée par cette vérité familiale : "Il y avait incompatibilité entre l'humiliation que mon "changement" induisait et leur amour-propre, car d'amour ils ne concédaient que celui-là" (p 28). J'ai noté aussi les pages sur Doucé, je ne sais pas s'il venait de l'extrême droite, et s'il n'y a pas là un petit excès. (p 101). Le coup de soleil avec Sonia, c'est surprenant, mais je pense plus fréquent qu'on ne le dit (p 197), et pose bien la différence qu'on oublie trop entre homosexualité, travestissement et transsexualité. Alcoolisme, mal être, elle reste consciente de sa propre responsabilité, comme si c'était facile de se sortir d'une répression continuelle depuis l'enfance : "J'étais surtout en plein délire, j'avais fait mien les pires lieux communs circulant sur le monde de l'édition. Confusion mentale entre le moi et le surmoi inhérente à une crise identitaire chronique sans origines génétiques ni antécédents familiaux ? Prémices d'un délire de persécution ? Facilité consistant à rejeter la faute sur autrui ? Imbécillité ? Pétage de plombs d'un cerveau en surchauffe ? un peu tout ça. Voilà, un livre qui tranchera dans les mièvreries médiatisées. (10 05 2004). Paris : Stock, 2004, 231p.
Petite précision du 24 Juin 2004 :
Au fait, j'avais mis dans mon
commentaire que j'étais très surpris qu'elle qualifie le
Pasteur Doucé (celui qui a été assassiné par
les RG) de militant d'extrême droite. L'ayant connu ( voir dans sa fiche )
je me suis beaucoup renseigné depuis, même au près de son dernier petit ami
qui vit actuellement à Groix, et c'est certainement faux. D'apès lui, il a
juste fait l'erreur de donné une fois une interview à un canard gay qui s'est
révélé être après coup aussi bien d'extrême droite que pédophile. (Gay France).
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SIMONETTA, Umberto. Voir le jour. Paris : Gallimard NRF coll. Du monde entier, 1966, 260p, 118x185. Un Garçon normal. Giordano fait de l’auto-stop, et rencontre un homosexuel. Paris : NRF Coll Du Monde Entier, 1971, 256p, 140x205. |
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SIMONET-LANDON, Daniel. Lulhim de Numidie. L’ Harmattan - Ed Du Pavaillon, 1996. |
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SIMONIN. Danger de vie. Séguier, 1986. |
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SIMSOLO, Noël. Un travelo nommé désir. L'affaire des Irlandais de Vincennes revue par "Le Poupe", à partir du meurtre d'un avocat chargé de la défense d'un petit groupe de paumés gauchistes accusé des pires attentats contre l'état, attentats faits en fait par un groupe de politico-mafieux avec l'aide d'un groupe fasciste de la police. Comme l'avocat est tué en pleine séance sado-maso chez un travesti black, l'ouvrage peut figuré ici, même si le style est plutôt homophobe (les singeries du Poulpe pour faire pédé par exemple). La Baleine, 1996, 153p. Pour acheter les polars aller directement en polar. (29 05 2003). |
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SINGE, Anne- ANGE, Marine. Cœur contre cœur. Lesbien. Editions Gaies et Lesbiennes, 1997. |
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Sinistrari, Friar. Ludovico Maria Peccatum Mutum. Paris : 1958. |
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Sinistrari d'Ameno. R. P. Luigi Maria. De sodomia tractatus. Paris : Bibliothèque des curieux (Le coffret du bibiophile), 1912. |
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SISSER, Pierre. Amour et humour Gay. Ramsay, 1995, 299p. |
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Sitwell, Edith. La Reine Victoria. Paris : Gallimard NRF Coll. leurs figures, 1938, 304p, sous couv ill, 140x205. Les Excentriques anglais. ( Traduit de l'anglais par Michèle Hechter). Paris : Le promeneur, 1988. |
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| SIZARET, Dr. pour l'article paru dans le Bulletin de la société scientifique et médicale de l'Ouest, Tome XX N° 2, 1911. Qui suit. | ||
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Skouffo, Alek. Chansons blèmes. Paris : Bibliothèque internationale d'édition E., 1909. |
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| SLIM, Iceberg. Mama Black Widov. La vie d'Ostis, un travesti noir. L'Olivier, 2000 (édition originale en américain en 1969). Pimp. L'Olivier, 1998. | ||
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SMENTEKA, Zophia –SMENTEK, Witold. (1910-?) (même personne sous deux identités sexuelles différentes) Confession amoureuse de la femme qui devient homme. Recueillie par Marcel Allain. Un très original petit ouvrage qui raconte les périples d’un homme, né avec le sexe retourné (comme un doigt de gant dit-il) qui a passé les 25 premières années de sa vie dans la peau d’une femme sans jamais se douter de sa véritable nature. Pour lutter contre ses penchants « lesbiens », mais en fait très hétérosexuels, elle s’investit dans le sport et devint championne de Pologne, et du monde de javelot. C’est une vision assez amusante de l’avant guerre pour les désirs homosexuels : « Est-il une fille, si confiante soit-elle, qui puisse, enfouissant sa tête sur l’épaule maternelle, demander le secret de cette attirance mauvaise qui la porte à rêver de femmes ? » (p 24) « Dans l’instant même où je m’épouvantais d’avoir compris que « j’aimais » Irène, je ne cherchais point à cette attirance physique une explication matérielle. Je me questionnais moi-même, je me demandais seulement, uniquement : « suis-je donc de celles-là ? » Et je me répondais : « Oui ! ». Et je me maudissais ! Et j’avais l’impression que si mes désirs établissaient cette vérité, il était impossible pourtant, que cela fut exact… D’un tel état d’esprit, d’un tel combat, secrètement mené, on devine ce que devaient être les atroces cruautés ? J’eus, à cette époque, des exaltations que je puis, maintenant, dire pitoyables. Je me revois à l’église, prosternée devant l’autel de la Vierge Marie, dans l’atmosphère douce et grisante de l’encens, qui monte vers les voûtes de la Maison sacrées. C’est avec ferveur que je priais : « - Sainte Vierge, Mère de Dieu », balbutiaient mes lèvres, « vous aurez pitié de moi ? Vous changerez mon cœur ?…Vous me ferez femme tout à fait ? Vous me ferez « comme les autres » ? »(…) Oh ! je crois qu’alors, j’ai soutenu les pires de mes luttes intérieures ! Impossible d’échapper à mes sentiments. Plus impossible encore, de les admettre moralement. J’étais, à mes propres yeux, le monstre haïssable et méprisable. Alors, parce que j’avais l’âme droite, je m’efforçais d’étouffer mes penchants. » (p 46). « Car il faut bien qu’on l’entende : à cette époque de ma vie, j’étais en quelque sorte une révoltée. Nettement les dernières aventures que j’avais vécues, m’avaient persuadée que tout l’amour d’un homme me serait insupportable. Mais je n’avais pas, on le devine, pour cela, renoncé à l’amour ! (…) Puis-je admettre qu’il est, sous la calotte des cieux, un seul être vivant qui n’ait pas droit à l’amour ? L’amour n’est-il pas indispensable à la vie, au même point que l’air qu’il nous faut respirer ? Je n’étais, après tout, responsable de rien… pourquoi lutter contre des instincts qui naissaient de mon corps ? Pourquoi leur refuser le droit de s’épanouir ? Je me criais –et c’était en vérité le cri de ma révolte : « - Tout le monde a le droit d’aimer ! Est-ce ma faute si j’aime autrement que les autres femmes ? » ». (p80). Paris, Les Editions de France, 1939. Avec 4 photos, avant et après. |
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SOCARIDES Charles, Dr. L’Homosexualité. Théorie –Clinique – Thérapie. Paris : Bibliothèque scientifique, 1970, 280p. |
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SOCIETES D'AMOUR. La Secte des Anandrynes suivi d'une confession de Mlle Sapho / introd. et notes par Jean Hervez. Paris : La Bibliothèque des curieux, 1920. |
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LES SOEURS DE LA PERPETUELLE INDULGENCE. Calendrier 1998. Avec photos. J'ai tellement à dire sur elles. Qu'Amour bon ici un petit message sur Bègle, le jour du premier mariage homo. (11 06 2004) Sainte et folles benedictions. Soeur Sidarta
COMMUNIQUE DES SŒURS DE LA PERPETUELLE INDULGENCE DU COUVENT D’ATLANTIQUE SUD. Action du 5 juin 2004 à Bègles à l’occasion du 1er mariage gay de France. A tous les Roméo et Roméo, à toutes les Juliette et Juliette et à tous les Roméo et Juliette de la planète. Depuis plus de 25 ans, les Sœurs de la Perpétuelle Indulgence luttent contre les virus de l’intolérance et du SIDA. Ce communiqué nous semble à ce jour nécessaire, d’une part afin de pallier les carences dans les récits des médias qui ont relatés l’événement du mariage ; et d’autre part pour lancer un appel à la militance et à la solidarité dans ce combat pour l’égalité des droits. LE VIRUS DE L’HOMOPHOBIE En ce jour glorieux et sans précédent en France, nous étions à Bègles, non pas pour les petits fours de la cérémonie de mariage en mairie, mais plutôt contre d’autres fours que certains opposants auraient visiblement bien rallumé… Les mêmes qui lors de la création du PACS hurlèrent « les pédés au bûcher ! ». « Détail de l’histoire », en cette veille de la commémoration historique de la réconciliation de l’Allemagne et de la France, nous avons retrouvé une vieille connaissance : la croix gammée, tatouée sur l’épaule musclée d’un skinhead vu dans la manifestation, parmi les défenseurs de l’ordre moral, le visage crispé de haine et de dégoût : il n’en a pas été chassé. Nous avons été inondées de psaumes : « Vermines, sales pédés, pédés à SIDA, gangrène de notre société ; Regardez les : voudriez vous confier vos enfants à ces gens là ? ; Sauvons les enfants du marais ; je veux me marier avec mon chat ; un père, une mère : oui, des tantes non ! ; Mariage entre hommes aujourd’hui, inceste et pédophilie demain ? » … autant de prières lancées vers nos rangs, sans parler des signes de coupe gorge.
« HAINEZ VOUS LES UNS LES AUTRES » ? Nous eûmes même droit au plaisir d’assister au mariage symbolique entre un pigeon et un rat, enfermés tous les deux dans la même cage, afin d’illustrer la vision aimante que ces intolérants fanatiques ont de nos amours. Des rixes ont eu lieu sous nos yeux, très vite stoppées par les policiers mais surtout par le service d’ordre des manifestants opposants, désireux de garder une image propre. Malgré la présence de nombreuses caméras, force est de constater que peu de média ont retranscrit véritablement la violence de l’homophobie et la haine brute. Sans exagération de notre part, le désir de tuer était nettement visible dans les yeux de nombreux manifestants, extrémistes, intégristes. Voilà qui doit nourrir le débat sur une loi urgente contre les propos homophobes et l’incitation à la haine que nous avons rencontrée et qui n’a trouvé aucune réaction officielle d’opposition de la part de nos gouvernants. Qui ne dit mot consent. MILITANTISME : Concernant le mariage, la bataille juridique et politique s’annonce rude et longue pour obtenir l’égalité des droits. Nous revendiquons le droit au mariage civil pour pouvoir choisir de l’utiliser ou non, comme cela est possible à tout citoyen hétérosexuel. Le PACS, même s’il est une avancée sociale, reste à nos yeux un sous droit pour des sous citoyens. A ceux qui nous ressassent que les Lois existantes ne permettent pas, pour l’instant, d’unir des individus de même sexe, nous répondons qu’il y a peu : la peine de mort, l’interdiction de l’IVG, l’esclavagisme, étaient des normes en France, validées par des Lois, mais qui ont changées depuis… Osons agir ENSEMBLE pour un monde dont chacun de nous rêve au fond de lui, un monde solidaire, aimant, juste, respectueux des différences et où l’on ne définira plus l’individu par ses pratiques sexuelles. Le temps des marches pour la fierté lesbienne, gay, bi et trans est venu : qu’il soit pour vous tous un moment fort de revendications contre l’homophobie, la lesbophobie, la biphobie et la transphobie qui nous tuent depuis des siècles. Les Sœurs de la Perpétuelle Indulgence remercient Noël Mamère pour sa démarche courageuse de faire cesser une discrimination légale et d’oser marier deux Roméo. Nous remercions également vivement tous les manifestants de nos rangs du 5 juin 2004 pour leur détermination et leur soutien, ainsi que tout ceux qui nous rejoindrons dans les combats à venir. L’union fait la force. Soyons fier de qui nous sommes car pas moins que les arbres et les étoiles nous avons le droit d’être ici. LONGUE ET HEUREUSE VIE AUX PREMIERS GAYS MARIES DE FRANCE ! Avec Respect, Joie et Paix, les Mili Tantes Sœurs de la Perpétuelle Indulgence.(11 06 2004) |
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| SOEUR SOURIRE. Dominique nique nique... Celle qui spoliée par son couvant de ses droits d'auteur, quitta son couvent avec une copine... quelques disques à vendre. | ||
SOLDATI, Mario. Les Confessions. Avec une accroche pédée, on pouvait s'attendre à mieux. Mais bon, c'est de l'homosexualité italienne : tout un roman de jésuites, de famille, d'amie de la mère qui ressemble à Lolo Briggida, pour un éveil de la sexualité adolescente qui finit discrètement dans une cabine de plage avec Luisito. " -Tu vois comme le seigneur est bon. Il t'a aidé et t'a envoyé un ami pour te distraire. Ainsi dorénavant, il te sera plus facile de vaincre tes tentations (hétéro, NDLT). Remercie-Le, remercie-Le tout de suite avec moi. Deo gratias. Allons, dis. - Deo Gratias, répéta Clément, pressant le pas, car il avait faim et pensait toujours plus à son café au lait. La grand-mère avait fait allusion à l'ami presque dans les mêmes termes que l'archiprêtre. Se pouvait-il qu'ils aient discuté ensemble de ses tentations ? Très probablement. Et pour cela l'archiprêtre n'avait pas eu besoin de trahir le secret de la confession : il avait été le premier à conseiller à Clément de fréquenter un ami. - Maintenant tu peux jouer et t'amuser, concluait la grand-mère en souriant. L'été n'est pas près de finir " (p 202). 10/18, Plon, 1982. Le Vrai Silvestri. L'Incendie. |
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SOLIANE, Ian. La Saigne. La Musardine, 2000. |
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SOLIDOR, Susy. Ma chanteuse préférée des années 30. Sa voix grave vous semblera inoubliable. J’avais même été manger dans son restaurant de Nice, jeune pédé encore, et ignorant de la chance que j’avais ! Elle vous recevait cachée derrière la porte de sa cuisine dont elle sortait le moins possible. Solidor, comme la tour de St-Malo, évidemment.
Térésine. Un roman en
trois partie dont les deux premières sont un peu chiantes. Une femme, quitte son
mari et revient en Bretagne élever son enfant; On peut même si l'on connaît
situer l'endroit près de la plage de la Gaudichais à Cancale, mais c'est
personnel. Voilà sa vision des hommes : "Au corps masculin, si fermé, si
défendu, raide, égoïste, sans courage, sans tendresse, sans drames, n'ayant
aucune habitude de la souffrance, impropre aux risques organiques, incapable du
geste d'abri, simple élément de luxe et de fantaisie, tant de joie sont
interdites !". La vie s'écoule tranquille, elle se remarie avec un voisin, sa
fille, partie à Paris, a un enfant. A cours d'argent son couple,
reviennent en Bretagne passer des vacances. Et Thérésine, maintenant grand-mère
d'un bel adolescent, se rappelle ses penchants lesbiens (p183) qu'elle a
refusés, et aide son petit fils, qu'elle devine gay, à partir vivre sa vie !
Nombreux aussi ceux qui ont trouvé près de leur grand-mère une oreille
attentive? (p 205).Le Comming out du petit fils et la "famille homosexuel" : "
Et... Voilà, est-ce que je suis un être à part, immoral, ridicule, je l'aime
plus que les miens... Il me semble que je tiens à lui, pas seulement par la
sympathie, l'affection, mais comme si c'était lui et pas les autres qui soit de
ma famille... c'est donc une blague la voix du sang?... Est-ce que je suis un
salaud?".(p205). Et voici un message digne d'une LGP : " Me voici, pensa-t-elle,
au bout de ma nuit à moi, je touche à ma lum Deux cent peintres, un modèle. Paris : La Nef de Paris, 1958. La vie commence au large. Bruxelles-Paris, Editions du Sablon, 1944, 243p. Parole de J'écrirai, chanson interprétée par Nadia Dauty, musique de Claude Pingault.
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SOMBART, Nicolaus. Chroniques d’une jeunesse berlinoise, 1933-1943. Paris : Quai Voltaire, 1992, 369p. |
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SONTAG, Susan. Le Sida et ses métaphores. Méfions-nous ! Elle n’utilise jamais le mot Gay, mais seulement Homosexuel, ni anal, mais « la pratique de la sodomie » ! Christian Bourgeois. |
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| SORCIERE, revue. Excellente revue féministe et qui a beaucoup moins vieilli que Masques. Numéros en vente sur ce site. | ||
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SORBIER, Françoise du. (dir).Oxford 1919-1939. Paris : Editions autrement, 1991, 287p. |
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SOULEIMAN, Ahmad, Ibn. Le livre de volupté. Le Sycomore, 1979. |
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SOULIE de MORANT, Georges. Bijou-de-ceinture ou le Jeune homme qui porte robe, se poudre et se farde. "L'amour des hommes est comparable à la pomme, sa fraîcheur croquante et un peu sèche irrite le goût alors même qu'elle le satisfait" (p.77). Ce livre, dont j'ai coupé les pages moi-même, est une petite curiosité. La vie d'un célèbre travesti chanteur chinois de ceux qui jouaient sur scène les rôles féminins du théâtre chinois. Le monde homosexuel de Pékin aux dernières heures de l'Impératrice-Régente Tseu-Hi et de la révolte des boxeurs. Dans Histoires de ma vie, Jean Marais cite ce livre comme étant le premier livre sur l'homosexualité qu'il ait lu en cachette. Hasard, Soulié de Morant fut plus tard le médecin acupuncteur de Jean Cocteau. Flammarion, 1926. Pour avoir lu aussi Saine jeunesse du même auteur, je vous conseille d’en éviter la lecture, elle n’a pas d’intérêts. |
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SPADA REPORT. Vie Chrétienne et sexualité. Paris : Centurion, 1981. |
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SPENCER, Colin. Histoire de l'homosexualité de l'Antiquité à nos jours. Si le début est intéressant et l'évolution des mentalités au Moyen-Age vers sodomite = hérétique est bien expliquée, on pédale sec dans la choucroute anglaise du XIXe. Le fait que les révolutions françaises ou russes ne soient quasiment pas évoquées est stupéfiant. Mais même l'émeute de Stonewall tient en trois mots et les réflexions sur le couple post-sida sont hallucinantes! Ed. Pré aux clercs, 1997. |
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SPENDER, Sir Stephen Harold. (1909- ). Le Temple. (1929) Très agréable roman sur l’insouciance des vacances en Allemagne des années 30 –Hambourg, Les berges du Rhin- : « C’est un roman autobiographique dans lequel l’auteur tâche de décrire sincèrement ses expériences de l’été 1929. En le rédigeant, j’avais le sentiment d’envoyer à mes amis et collègues respectés dans la mère patrie des dépêches du front, au cours de notre guerre commune contre la censure « (p. 11, par l’auteur). Refusé avant guerre, l’auteur après l’avoir oublié, le ressortit en 1986 et y ajouta une seconde partie, que pour ma part j’ai trouvé historiquement conforme mais littérairement beaucoup moins bonne. « Simon Wilmot est le jeune W.H. Auden, et William Bradshaw, Christopher Isherwood ». (p 13). « Je me rends compte aujourd’hui que mon bonheur, ici, à Hambourg, est plus conscient qu’il ne l’a jamais été, pour cette raison qu’un certain désir, que je ressens toujours, est satisfait dans la relation qui unit Joachim et Willy. J’ai l’impression qu’une nouvelle vie a commencé ici en Allemagne. J’ignore précisément an quoi consiste sa nouveauté, mais peut-être la clef en réside-t-elle dans l’attitude neuve de ces jeunes allemands à l’égard de leur corps. Bien que mon point de vue n’ait jamais été puritain, j’avoue que jusqu’à maintenant, quelle que soit mon hypocrisie à mon propre égard, j’ai toujours considéré mon corps comme la source du péché, et mon bien-être physique comme un sujet de honte, à vaincre par des qualités spirituelles qui le contrebalance et me le fasse expier. Et maintenant, je commence à me dire que je pourrais bientôt en venir à le considérer comme une source de joie. Au lieu d’être un obstacle qui m’empêche d’avoir des relations satisfaisantes avec autrui, il pourrait s’avérer être l’instrument qui permet d’atteindre une telle relation. » (p 90). Toute la différence entre l’Allemagne et L’ Angleterre ! « Il commençait à se lasser de l’obsession maladroite des allemands pour leur corps. Ils vénéraient le corps comme s’il s’agissait d’un temple. « Mais pourquoi ne peuvent-ils pas s’accepter tels qu’ils sont ? » se dit-il. Je suis las de tous ces gens qui s’efforcent sans cesse d’arriver au physique parfait qui se tuent à force d’exercices, pour la bonne raison qu’ils sont incapables de s’accepter physiquement comme ils sont. Ils n’arrivent pas à se pardonner le corps avec lequel ils sont nés. » (p170). C. Bourgeois, 1989. Autobiographie. très longue bibliographie avec des passages intéressants sur Berlin, Hambourg (p155), Auden, Ischerwood (p 148), sa grand-mère etc... mais un peu lassante surtout quand il digresse sur la poésie ; enfin, à mon avis, moi qui ai beaucoup de mal avec les vers ( et pas les verres)!. Bon j'ai lu cet ouvrage il y a longtemps, j'espère me retrouver dans mes notes : Des pages sur Nantes où il fait des études (p 55), son bizutage à Oxford (p60), ses amours avec Jimmy dont il fait son secrétaire (p245). "Nous nous heurtions à la difficulté qui menace deux hommes vivant en ménage. Parce qu'ils sont du même sexe, ils finissent par tout savoir l'un de l'autre et très vite la relation paraît avoir atteint une impasse. Tout développement supplémentaire devenu impossible, tout ce qu'ils peuvent faire, c'est préserver intacte leur amitié en veillant à ne pas rétrograder dans l'ignorance ou l'indifférence. En l'occurrence, la fidélité nous prescrivait, puisque notre relation ne pouvait s'épanouir, de ne pas chercher à développer nos individualités respectives d'une manière qui eût exclu l'autre. Cette fidélité mutuelle, ou plutôt cette fidélité à une relation que nous ne souhaitons pas dépasser, débouchait donc sur la stérilité." Ce passage est assez significatif du style : une accroche sympa suivie d'un charabia pédant qui étouffe l'idée principale sous la vacuité de l'auteur ; alors quand il s'agit de poésie, cela devient la mort... Ah les amours du prolétaire et de l'aristocrate : "J'étais amoureux, en quelque sorte, de son milieu, de ses années d'armée, de son foyer prolétarien. (...) Quand Jimmy parlait de ses sujets, j'étais peut-être plus proche de la poésie qu'en parlant à mes pairs en poésie. " (p256) et nous, plus proches du plaisir ! Avec Jimmy il suit la guerre civile en Espagne (p304 et suivante). Et sur l'attirance homosexuelle de l'Allemagne après la guerre de 1914 (p 462). Christian Bourgois, 1993. (10 07 2006) |
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SPIESS, Camille. Pédérastie et homosexualité. Paris : Daragon, 1917, 68p. Leipzig-Genève, Max Spohr (et Tribune libre), 1915. L’Inversion sexuelle. Paris ou Orléans ? : édition de l’En-dehors, 1930, 5p. Mon autopsie. Ejaculations autobiographiques. Nice : Athanaor, 1938. Eros ou l’histoire de physiologique de l’homme. Paris : Editions de l’Athanor, 1932, 280p. Cités aussi dans la revue Inversion, N°3 de Fév 1925, Amour Platonique et sexualité. (10f). Ainsi parlait l’homme. (5f). Paris, A. Delpeuch, 1923. Le sexe androgyne ou divin. Essai psycho-synthétique sur la psycho-synthétique, précédé d'une étude de St.-Ch. Waldecke. Paris : Le monde moderne, 1928. |
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Spitz, Aimé. Struthof, bagne nazi en Alsace : reportage : mémoires d'un déporté patriote no. 4596. Sélestat : Impr. Alsatia, 1946. |
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SPOLATO, Maria Sylva. Les Mouvements homosexuels révolutionnaires. Sd. Cité dans la revue Gulliver, N°1, 1972. |
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STEFAN, Verena. Mues. Traduit de l’allemand par Leslie Gaspard. Paris : éd Des Femmes. |
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STEIN, Gertrude. Nombreux ouvrages à la Bernique. Voir aussi à Alice Tolska. |
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STEINER, Alec. Transports parisiens. Paris : Diesel-press. |
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STEKEL, W. Onanisme et homosexualité. Paris : Gallimard coll psychologie, 1951, 702p, 140x225. |
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STEPHANE, Roger - Roger WORMS, dit (1919 – 1994). On doit le Nouvel Observateur à cet héros de la Résistance, qui libéra l’Hôtel de Ville de Paris. Il ne se consolera jamais de la mort de son amant, Jean-Jacques Rinieri, dans un accident de voiture. Une singulière affinité : petit ouvrage qui n’a rien de très extraordinaire et absolument rien de sexuel : un avocat quadragénaire de gauche tombe amoureux d’un fougueux journaliste de vingt cinq ans, et se pose la question : « une amitié peut-elle devenir plus sensuelle ? ».Par contre, la période évoquée, la prise du pouvoir par les généraux à Alger et la chute de la quatrième République, en Mai 1958, est assez rare pour être notée. Quelques petites phrases : « Ce n’est pas parce qu’on a les flics au cul que l’on doit interrompre ses lectures ». (p 49). « Etienne se surprit à rêver sa vie autour de Michel. Se ressaisissant, il s’effraya de cette idée. S’effraya-t-il vraiment ? » (p 147). Et un petit Mitterrand en manif anti De Gaule, (p 211). Les fausses passions. Paris, La Table ronde, 1956. Parce que c'était lui. Paris : La Table ronde, 1953. T.E. Laurence. Paris : NRF coll La Bibliothèque idéale, 1960, 280p + 16p hors texte, couv ill, 24 ill, 118x185. André Malraux, entretien et précisions. Paris, NRF coll blanche, 1984, 176p, 140x205. Tout est bien. L’Ascenseur. Pas grand intérêt pour un petit essai où un banquier parisien et mondain, pour essayer de donner un sens réel à son ennui, quitte tout pour se faire liftier dans un grand hôtel de la côte d’azur. Terriblement 1960. Robert Laffont, 1960. / J.-J. Thierry. Prétexte Cahier André Gide. n° 1, février 1952 ; n° 2, novembre 1952. |
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STOCKER, A. Docteur. L'Amour interdit : trois anges sur la route de Sodome [Corydon, M. Godeau, Oscar Wilde]. Genèvre : Ed. du Mont-blanc, 1945. |
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STOLER. Recherche sur l’identité sexuelle. Gallimard, 1978. |
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STREFF, Jean. Les Extravagances du désir. La Musardine, 2002. |
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| SUNTHORST, Arent Von. L'inventeur du mot Homophile, d'après Gérard Bach, Homosexualités, p 22. | ||
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SUYIN, Han. Amours d’hivers. Stock, 1962. Livre de poche, 1974. |
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SWINBURNE, Charles. (1837-1909). Lesbia Brandon. L’imaginaire Gallimard. |
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SYLVESTRE, Anne. Pour de vrai / entretiens avec Monique Detry. Le Centurion, 1981, 224p. |
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AUTRES AUTEURS SUIVIS |
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SAKI Hector (1870-1916) anglais. SAINT SEBASTIEN (III ième siècle). SMAIL Paul. STEVENSON Edward (1868-1942) américain. STRACHEY, Giles Lyton (1880-1932), Eminent Victorians, 1918. |
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